C’est ce lundi que s’ouvre à Paris le procès de l'ancien président de la fédération international d'athlétisme, Lamine Diack, et son fils Papa Massata Diack, jugé par contumace.
Le duo est poursuivi pour corruption et blanchiment d'argent dans très spectaculaire scandale de dopage impliquant des athlètes russes.
Le français d'origine sénégalaise a dirigé l'IAAF, rebaptisé World Athletics, pendant plus
de 15 ans de 1999 à 2015. L'organisation a été rebaptisé World Atletics.
Le procès devait commencer en janvier mais il a été reporté après que de nouveaux documents contenant le témoignage de son fils et de son coaccusé, Papa Massata Diack, ont été soumis au tribunal.
Ce dernier au Sénégal n’est toujours pas extradé en France, le Sénégal refusant de le livrer.
Papa Massata était consultant en marketing pour l'IAAF.
Il est accusé de blanchiment d'argent, de corruption et d'abus de confiance, selon l'acte d'accusation, et sera jugé par contumace.
Lamine Diack a fêté ses 87 ans dimanche.
Il nie les faits et ses avocats jugent les accusations « sans fondement ».
M. Diack, originaire du Sénégal, vit en résidence surveillée à Paris et risque une peine de prison pouvant aller jusqu'à 10 ans s'il est reconnu coupable.
La justice française lui reproche d’avoir sollicité 3,45 millions d'euros (plus de 2 milliards 200 millions de francs CFA) à des d'athlètes soupçonnés de dopage afin de fermer les yeux et leur permettre de continuer à concourir, notamment aux Jeux olympiques de Londres en 2012.
L’ancien avocat de M. Diack à l’IAAF, Habib Cissé,, Gabriel Dolle, qui a supervisé les tests de dopage à l'IAAF, et les Russes Valentin Balakhnitchev et Alexei Melnikov, qui étaient respectivement chef de la fédération russe d'athlétisme et entraîneur au moment de la présumée affaire sont aussi jugés.
Le duo est poursuivi pour corruption et blanchiment d'argent dans très spectaculaire scandale de dopage impliquant des athlètes russes.
Le français d'origine sénégalaise a dirigé l'IAAF, rebaptisé World Athletics, pendant plus
de 15 ans de 1999 à 2015. L'organisation a été rebaptisé World Atletics.
Le procès devait commencer en janvier mais il a été reporté après que de nouveaux documents contenant le témoignage de son fils et de son coaccusé, Papa Massata Diack, ont été soumis au tribunal.
Ce dernier au Sénégal n’est toujours pas extradé en France, le Sénégal refusant de le livrer.
Papa Massata était consultant en marketing pour l'IAAF.
Il est accusé de blanchiment d'argent, de corruption et d'abus de confiance, selon l'acte d'accusation, et sera jugé par contumace.
Lamine Diack a fêté ses 87 ans dimanche.
Il nie les faits et ses avocats jugent les accusations « sans fondement ».
M. Diack, originaire du Sénégal, vit en résidence surveillée à Paris et risque une peine de prison pouvant aller jusqu'à 10 ans s'il est reconnu coupable.
La justice française lui reproche d’avoir sollicité 3,45 millions d'euros (plus de 2 milliards 200 millions de francs CFA) à des d'athlètes soupçonnés de dopage afin de fermer les yeux et leur permettre de continuer à concourir, notamment aux Jeux olympiques de Londres en 2012.
L’ancien avocat de M. Diack à l’IAAF, Habib Cissé,, Gabriel Dolle, qui a supervisé les tests de dopage à l'IAAF, et les Russes Valentin Balakhnitchev et Alexei Melnikov, qui étaient respectivement chef de la fédération russe d'athlétisme et entraîneur au moment de la présumée affaire sont aussi jugés.
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