La Cour d'appel d'Aix-en-Provence a en effet décidé ce mercredi d'annuler la mise en examen de l'ancien président de l'OM pour « abus de biens sociaux et association de malfaiteurs », dans l'affaire des transferts douteux de joueurs.
L'ancien dirigeant olympien était notamment soupçonné d'avoir versé des sommes illégitimes à Thomas Deruda et d'avoir surévalué la commission de l'agent de Vitorino Hilton, pour un total de 474 000 euros.Le Franco-Sénégalais est désormais placé sous statut de témoin assisté.
« Nous sommes heureux que la justice ait pris le temps de constater que Pape Diouf est totalement étranger au moindre acte délictuel », s'est félicité l'avocat de Pape Diouf, Me Bruce Blanc, ajoutant que son client « a toujours été un homme intègre » .
Cette accusation prononcée en décembre 2016 était contestée par Pape Diouf, qui niait bec et ongles les faits qui lui étaient reprochés. Contestation entendue par la chambre d'instruction, qui a considéré qu'il n'existait pas d'indices graves ou concordants justifiant la mise en examen de l'ancien président phocéen.
Une annulation qu'avait d'ailleurs requise l'avocat général, considérant que « les investigations ne permettaient pas d'établir que Pape Diouf avait engagé Thomas Deruda, en 2006, en sachant pertinemment qu'il n'avait pas les compétences requises pour jouer en qualité de professionnel ».
L'ancien dirigeant olympien était notamment soupçonné d'avoir versé des sommes illégitimes à Thomas Deruda et d'avoir surévalué la commission de l'agent de Vitorino Hilton, pour un total de 474 000 euros.Le Franco-Sénégalais est désormais placé sous statut de témoin assisté.
« Nous sommes heureux que la justice ait pris le temps de constater que Pape Diouf est totalement étranger au moindre acte délictuel », s'est félicité l'avocat de Pape Diouf, Me Bruce Blanc, ajoutant que son client « a toujours été un homme intègre » .
Cette accusation prononcée en décembre 2016 était contestée par Pape Diouf, qui niait bec et ongles les faits qui lui étaient reprochés. Contestation entendue par la chambre d'instruction, qui a considéré qu'il n'existait pas d'indices graves ou concordants justifiant la mise en examen de l'ancien président phocéen.
Une annulation qu'avait d'ailleurs requise l'avocat général, considérant que « les investigations ne permettaient pas d'établir que Pape Diouf avait engagé Thomas Deruda, en 2006, en sachant pertinemment qu'il n'avait pas les compétences requises pour jouer en qualité de professionnel ».