L’équipe nationale féminine de handball du Sénégal va disputer demain son premier match en coupe du monde. A la veille du coup d’envoi des joutes, le sélectionneur fait le point sur la préparation, les objectifs et l’état d’esprit du groupe au micro de wiwsport.com
Quelle évaluation faites vous de la préparation des lionnes, du Havre au Japon?
La préparation se termine aujourd’hui. C’est le dernier entraînement avant de commencer la compétition. On a vraiment travaillé depuis le lundi 18 novembre avec un match amical contre Le Havre, la Belgique et hier face Cuba. On a essayé de mettre toutes les joueuses au même niveau parce que quand elles sortent du club, les niveaux de préparation, les bobos font que forcément elles ne sont pas toutes au même niveau athlétique. Donc on a utilisé les 10 jours qu’on avait à disposition pour bien préparer le groupe et on est plutôt satisfait de l’investissement.
Quel est l’état d’esprit du groupe à la veille de cette compétition?
L’état d’esprit est celui d’une équipe qui va découvrir le championnat du monde. Le Sénégal est le seul pays sur les 24 participants qui va disputer pour la première fois la coupe du monde. Certainement il y’a un peu d’appréhension, beaucoup d’excitation. Et on sent depuis avant-hier que le niveau de concentration, d’investissement est entrain de grandir. On a 17 joueuses qui sont concernées pour entrer dans l’évènement. Il y’a une dynamique collective qui est agréable à vivre. En plus d’un niveau d’investissement sur l’entraînement qui est de qualité. On prend tous du plaisir à préparer cette coupe du monde.
Le Sénégal est le petit poucet du groupe C. Il va disputer pour la première fois la coupe du monde. Quel est le mot d’ordre?
Le mot d’ordre, il est très simple. On est pas le favori de cette compétition donc on veut jouer tous les matchs comme si ils étaient des finales. Prendre des risques, essayer de jouer en étant le plus détendu possible. On va rester très concentré, très appliqué parce qu’on sait qu’on doit avoir peu de pertes de balles avec ce genre d’adversaire. On veut essayer de créer des surprises.
Quelle idée avez vous des adversaires qui composent votre groupe?
On sait que sur les adversaires qu’on a dans notre groupe, beaucoup ont énormément d’expérience. L’Espagne, la Roumanie, la Hongrie, le Monténégro sont des adversaires qui sont des habitués de cet événement. Donc on veut prendre des risques, prendre du plaisir, montrer toute la progression du handball sénégalais et être capable de s’engouffrer si on sent que nos adversaires sont un petit peu moins bien ou peuvent manquer un petit peu d’humilité dans la préparation des match face à nous. On veut avoir la capacité de prendre l’intervalle et de les mettre en difficulté.
wiwsport.com
Quelle évaluation faites vous de la préparation des lionnes, du Havre au Japon?
La préparation se termine aujourd’hui. C’est le dernier entraînement avant de commencer la compétition. On a vraiment travaillé depuis le lundi 18 novembre avec un match amical contre Le Havre, la Belgique et hier face Cuba. On a essayé de mettre toutes les joueuses au même niveau parce que quand elles sortent du club, les niveaux de préparation, les bobos font que forcément elles ne sont pas toutes au même niveau athlétique. Donc on a utilisé les 10 jours qu’on avait à disposition pour bien préparer le groupe et on est plutôt satisfait de l’investissement.
Quel est l’état d’esprit du groupe à la veille de cette compétition?
L’état d’esprit est celui d’une équipe qui va découvrir le championnat du monde. Le Sénégal est le seul pays sur les 24 participants qui va disputer pour la première fois la coupe du monde. Certainement il y’a un peu d’appréhension, beaucoup d’excitation. Et on sent depuis avant-hier que le niveau de concentration, d’investissement est entrain de grandir. On a 17 joueuses qui sont concernées pour entrer dans l’évènement. Il y’a une dynamique collective qui est agréable à vivre. En plus d’un niveau d’investissement sur l’entraînement qui est de qualité. On prend tous du plaisir à préparer cette coupe du monde.
Le Sénégal est le petit poucet du groupe C. Il va disputer pour la première fois la coupe du monde. Quel est le mot d’ordre?
Le mot d’ordre, il est très simple. On est pas le favori de cette compétition donc on veut jouer tous les matchs comme si ils étaient des finales. Prendre des risques, essayer de jouer en étant le plus détendu possible. On va rester très concentré, très appliqué parce qu’on sait qu’on doit avoir peu de pertes de balles avec ce genre d’adversaire. On veut essayer de créer des surprises.
Quelle idée avez vous des adversaires qui composent votre groupe?
On sait que sur les adversaires qu’on a dans notre groupe, beaucoup ont énormément d’expérience. L’Espagne, la Roumanie, la Hongrie, le Monténégro sont des adversaires qui sont des habitués de cet événement. Donc on veut prendre des risques, prendre du plaisir, montrer toute la progression du handball sénégalais et être capable de s’engouffrer si on sent que nos adversaires sont un petit peu moins bien ou peuvent manquer un petit peu d’humilité dans la préparation des match face à nous. On veut avoir la capacité de prendre l’intervalle et de les mettre en difficulté.
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