3ème du groupe F des éliminatoires de la Coupe du monde 2023, le Sénégal a son destin en main pour décrocher une 3ème qualification consécutive après 2014 et 2019. Pour ce faire, l’État devrait débourser 200 millions de francs pour l’organisation de la 5ème fenêtre prévue en février 2023. Le président de la Fédération sénégalaise de basket, Me Babacar Ndiaye, a apporté des précisions à ce sujet. Il a aussi reprécisé la pensée du ministre des Sports concernant les droits d’organisation des compétitions FIBA.
Fenêtre février : Pas lourd comme budget
«Ce qu’il faut savoir c’est qu’il n’y a pas de droit d’organisation concernant les fenêtres des éliminatoires. Les droits d’organisation sont versés dans certaines compétitions comme les Afrobasket (garçons et filles) et les tournois de qualification olympique. C’est plus cher pour les TQO. Il n’y a rien à payer pour les fenêtres des éliminatoires. C’est simplement des conditions sportives et hôtelières qu’il faut remplir. Il faut prendre en charge les arbitres, les officiels de la FIBA et une partie des frais d’hôtel des équipes participantes. On peut tout organiser avec un budget de 150 à 200 millions. On est dans les dispositions car le ministre m’a donné son accord de principe. Je dis que ce n’est pas lourd car 200 millions ce n’est rien pour un État sachant aussi qu’on a notre destin en main pour se qualifier à la Coupe du monde. Ce serait ainsi la 3ème fois consécutive après 2014 et 2019. On est en train de voir si on va jouer à Marius Ndiaye ou Dakar Arena. On fera un choix définitif si la FIBA nous attribue la compétition. J’ai vu les salles d’Alexandrie et de Monastir lors des dernières fenêtres, mais elles ne sont pas meilleures que Marius Ndiaye.
Le ministre n’a pas attaqué la FIBA
Je précise que le ministre des Sports a parlé la dernière des droits d’organisation. Mais il a posé le débat de façon globale et ce ne sont pas des attaques contre la FIBA. Il posé la question de manière générale pour rentabiliser les compétitions internationales organisées par les autres confédérations à l’image du football sachant que dans les autres disciplines comme le basket, le handball, l’athlétisme ou autres, le champion ne gagne presque rien. C’est un débat général qu’il veut poser en tant que ministre des Sports de concert avec ses homologues africains. Mais il ne faut pas voir ça comme des attaques dirigées contre la FIBA. Il faut noter que la FIBA fait des efforts. Au début, le vainqueur ne gagnait rien du tout. Aujourd’hui, il y a des avancées dans ce domaines même si la FIBA peut encore mieux faire. Je félicite les responsables de la FIBA, le Directeur exécutif Alphonse Bilé et ses collaborateurs pour le travail abattu concernant le développement du basket africain et sénégalais. Le Sénégal est respecté sur le plan mondial grâce à ses résultats. En 2014 et 2018, les Lions et Lionnes ont franchi le 1er tour d’une Coupe du monde. Le Nigeria et la Tunisie l’ont aussi fait. Le basket africain titille le niveau mondial. Et c’est en grande partie grâce au travail de la FIBA».
Fenêtre février : Pas lourd comme budget
«Ce qu’il faut savoir c’est qu’il n’y a pas de droit d’organisation concernant les fenêtres des éliminatoires. Les droits d’organisation sont versés dans certaines compétitions comme les Afrobasket (garçons et filles) et les tournois de qualification olympique. C’est plus cher pour les TQO. Il n’y a rien à payer pour les fenêtres des éliminatoires. C’est simplement des conditions sportives et hôtelières qu’il faut remplir. Il faut prendre en charge les arbitres, les officiels de la FIBA et une partie des frais d’hôtel des équipes participantes. On peut tout organiser avec un budget de 150 à 200 millions. On est dans les dispositions car le ministre m’a donné son accord de principe. Je dis que ce n’est pas lourd car 200 millions ce n’est rien pour un État sachant aussi qu’on a notre destin en main pour se qualifier à la Coupe du monde. Ce serait ainsi la 3ème fois consécutive après 2014 et 2019. On est en train de voir si on va jouer à Marius Ndiaye ou Dakar Arena. On fera un choix définitif si la FIBA nous attribue la compétition. J’ai vu les salles d’Alexandrie et de Monastir lors des dernières fenêtres, mais elles ne sont pas meilleures que Marius Ndiaye.
Le ministre n’a pas attaqué la FIBA
Je précise que le ministre des Sports a parlé la dernière des droits d’organisation. Mais il a posé le débat de façon globale et ce ne sont pas des attaques contre la FIBA. Il posé la question de manière générale pour rentabiliser les compétitions internationales organisées par les autres confédérations à l’image du football sachant que dans les autres disciplines comme le basket, le handball, l’athlétisme ou autres, le champion ne gagne presque rien. C’est un débat général qu’il veut poser en tant que ministre des Sports de concert avec ses homologues africains. Mais il ne faut pas voir ça comme des attaques dirigées contre la FIBA. Il faut noter que la FIBA fait des efforts. Au début, le vainqueur ne gagnait rien du tout. Aujourd’hui, il y a des avancées dans ce domaines même si la FIBA peut encore mieux faire. Je félicite les responsables de la FIBA, le Directeur exécutif Alphonse Bilé et ses collaborateurs pour le travail abattu concernant le développement du basket africain et sénégalais. Le Sénégal est respecté sur le plan mondial grâce à ses résultats. En 2014 et 2018, les Lions et Lionnes ont franchi le 1er tour d’une Coupe du monde. Le Nigeria et la Tunisie l’ont aussi fait. Le basket africain titille le niveau mondial. Et c’est en grande partie grâce au travail de la FIBA».