Dominé par le Panathinaïkos et réduit à dix en seconde période, l’Olympique de Marseille a concédé une défaite logique (0-1) ce mercredi lors du match aller du 3e tour préliminaire de la Ligue des Champions.
Bougés dans l’impact physique et peu inspirés dans l’animation offensive, les hommes de Marcelino ont souffert dès l’entame de cette rencontre. En première période, l’OM n’a pas proposé grand-chose offensivement, même si Aubameyang, démarqué dans la surface, aurait pu donner l’avantage à son équipe sur sa première occasion en ajustant mieux sa tête sur un centre de Lodi.
Mieux physiquement - c’est le 10e match du Panathinaïkos - , les Grecs ont imposé un pressing qui a mis les Olympiens en difficulté. Les joueurs de Marseille ont ainsi peiné à enchaîner les passes et longtemps couru après le ballon. Néanmoins, Pau Lopez n’a pas été réellement inquiété dans le but marseillais et l’OM a mieux terminé le premier acte, à l'image de la frappe lointaine d'Ounahi captée par Brignoli avant la pause. Le seul tir cadré des 45 premières minutes...
Au retour des vestiaires, le Panathinaïkos appuyait sur l’accélérateur. Les locaux se montraient alors plus dangereux et multipliaient les assauts dans la surface marseillaise. Marseille souffrait et, pour ne rien arranger, se retrouvait réduit à dix après l’expulsion de Kondogbia pour un deuxième carton jaune. Déjà en difficulté à onze contre onze, l’OM craquait finalement en fin de match sur un but de Bernard au terme d’une belle action collective (1-0, 83e). Marseille n’aura pas d’autres choix que de l’emporter au Vélodrome, la semaine prochaine, pour espérer disputer la Ligue des Champions…
Maxifoot
Bougés dans l’impact physique et peu inspirés dans l’animation offensive, les hommes de Marcelino ont souffert dès l’entame de cette rencontre. En première période, l’OM n’a pas proposé grand-chose offensivement, même si Aubameyang, démarqué dans la surface, aurait pu donner l’avantage à son équipe sur sa première occasion en ajustant mieux sa tête sur un centre de Lodi.
Mieux physiquement - c’est le 10e match du Panathinaïkos - , les Grecs ont imposé un pressing qui a mis les Olympiens en difficulté. Les joueurs de Marseille ont ainsi peiné à enchaîner les passes et longtemps couru après le ballon. Néanmoins, Pau Lopez n’a pas été réellement inquiété dans le but marseillais et l’OM a mieux terminé le premier acte, à l'image de la frappe lointaine d'Ounahi captée par Brignoli avant la pause. Le seul tir cadré des 45 premières minutes...
Au retour des vestiaires, le Panathinaïkos appuyait sur l’accélérateur. Les locaux se montraient alors plus dangereux et multipliaient les assauts dans la surface marseillaise. Marseille souffrait et, pour ne rien arranger, se retrouvait réduit à dix après l’expulsion de Kondogbia pour un deuxième carton jaune. Déjà en difficulté à onze contre onze, l’OM craquait finalement en fin de match sur un but de Bernard au terme d’une belle action collective (1-0, 83e). Marseille n’aura pas d’autres choix que de l’emporter au Vélodrome, la semaine prochaine, pour espérer disputer la Ligue des Champions…
Maxifoot