Le Bayern Munich fait peur.
Lewandowski le métronome, Müller l’opportuniste, James le maître à jouer, Robben et Ribéry les dynamiteurs… Jamais depuis longtemps le Bayern Munich n’a affiché une telle puissance offensive, à l’heure du déplacement à Séville mardi en Ligue des champions (18h45).
« L’impression est bonne, les ingrédients sont là », a commenté avec son habituel sourire en coin le capitaine Thomas Müller, après l’humiliant 6-0 infligé à Dortmund samedi en championnat à l’Allianz Arena.
Des chiffres ?
Depuis la reprise du championnat en janvier, les Bavarois ont joué treize matches, et ont marqué à sept reprises quatre buts ou plus. Dont un 5-0 en Ligue des champions contre Besiktas. À lui tout seul, l’avant-centre polonais Robert Lewandowski a réussi deux triplés et un doublé lors de ses cinq dernières titularisations !
Et encore les statistiques ne disent-elles rien de l’impression de fluidité qui se dégage de l’ensemble constitué par Jupp Heynckes, le vieux sorcier de 72 ans qui a rendu au Bayern, amorphe à l’automne, son rêve de remporter le trophée suprême européen.
Sport221.com
Lewandowski le métronome, Müller l’opportuniste, James le maître à jouer, Robben et Ribéry les dynamiteurs… Jamais depuis longtemps le Bayern Munich n’a affiché une telle puissance offensive, à l’heure du déplacement à Séville mardi en Ligue des champions (18h45).
« L’impression est bonne, les ingrédients sont là », a commenté avec son habituel sourire en coin le capitaine Thomas Müller, après l’humiliant 6-0 infligé à Dortmund samedi en championnat à l’Allianz Arena.
Des chiffres ?
Depuis la reprise du championnat en janvier, les Bavarois ont joué treize matches, et ont marqué à sept reprises quatre buts ou plus. Dont un 5-0 en Ligue des champions contre Besiktas. À lui tout seul, l’avant-centre polonais Robert Lewandowski a réussi deux triplés et un doublé lors de ses cinq dernières titularisations !
Et encore les statistiques ne disent-elles rien de l’impression de fluidité qui se dégage de l’ensemble constitué par Jupp Heynckes, le vieux sorcier de 72 ans qui a rendu au Bayern, amorphe à l’automne, son rêve de remporter le trophée suprême européen.
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