« Nous utiliserons au Mondial 2018 l’arbitrage vidéo parce que, jusqu’à présent, nous n’avons que des retours très positifs », a déclaré le Suisse devant le 67e congrès de la Confédération sud-américaine de football (Conmebol) à Santiago du Chili.
« Ce n’est pas possible qu’en 2017, alors que tout le monde dans le stade ou chez soi voit en quelques secondes si l’arbitre a commis une erreur ou pas, que la seule personne qui ne le sache pas soit justement l’arbitre », a-t-il expliqué.
L’assistance vidéo à l’arbitrage (VAR), son nom officiel, peut être utilisée dans quatre situations de jeu seulement : après un but marqué, sur une situation de penalty, pour un carton rouge direct ou pour corriger une erreur d’identité d’un joueur sanctionné.
« Ce n’est pas possible qu’en 2017, alors que tout le monde dans le stade ou chez soi voit en quelques secondes si l’arbitre a commis une erreur ou pas, que la seule personne qui ne le sache pas soit justement l’arbitre », a-t-il expliqué.
Testé au Mondial des clubs au Japon
Pour la FIFA, l’objectif a toujours été que la vidéo soit utilisée lors de la Coupe du monde 2018 en Russie, mais en mars Infantino avait affirmé qu’il faudrait que l'international board, organisme garant des règles du football, « donne son feu vert » d’abord.L’assistance vidéo à l’arbitrage (VAR), son nom officiel, peut être utilisée dans quatre situations de jeu seulement : après un but marqué, sur une situation de penalty, pour un carton rouge direct ou pour corriger une erreur d’identité d’un joueur sanctionné.