
L’économie sportive, un modèle de développement économique tel est le sujet qui a regroupé ce vendredi au Canal Olympia le monde sportif.
A la veille de la compétition de MMA, les organisateurs de l’événement et leurs partenaires ont invités les acteurs de diverses disciplines à un workshop pour parler des différents enjeux pour lesquels le sport pourrait apporter des solutions. Dakar est devenu une ville hôte d’événements sportifs de niveau continental voire mondial.
Plusieurs événements (Afrobasket, championnats d’Afrique Judo Cadets et Juniors, TQO Handball…) ont eu lieu dans la capitale sénégalaise et se prépare pour les années à venir. Porte d’entrée de l’Afrique de l’ouest, Dakar se prépare à accueillir les Jeux Olympiques de la Jeunesse en 2022 entre autres compétitions. D’où le thème du panel d’experts de la rencontre des acteurs sportifs ce vendredi: « Le rôle des partenariats public-privé dans le développement de la pratique sportive et de l’économie du sport ».
Une activité dont le modérateur est le Professeur Abdoulaye Sakho , fondateur du master en droit et économie du sport. Dakar est aussi l’une des villes choisies pour abriter les compétitions de la ligue africaine de basketball (BAL). Amadou Gallo Fall président de la NBA Afrique et vice-président de la NBA expose le volet économique du BAL. « Nous allons commencer les matchs en 2020 avec 12 équipes de 12 pays qui joueront sur les 6 villes choisies dont Dakar. L’opportunité pour les jeunes talents de l’Afrique de s’exprimer sur leurs terres.
Mais cette compétition permettra aussi de développer tout l’écosystème du sport africain. Avec le modèle NBA nous nous efforçons d’employer dans tous les systèmes les meilleurs ( les meilleurs avocats, les meilleurs marketteurs..). Nous allons diffuser les matchs pour une audience panafricaine voire mondiale. L’objectif de cette ligue est certes une ligue africaine mais aussi créer l’emploi et booster l’économie de chaque ville où se disputera les tournois. »
Occasion saisie aussi par la ville de Dakar représentée par Mme Fanta Diallo de parler du chantier des JOJ et de l’héritage qu’ils légueront à la population. Hôte de cette compétition, Dakar veut avec l’implication de sa population récupérer des espaces et en faire des infrastructures opérationnelles. « Tout ce que nous avons demandé aux investisseurs de récupérer un espace fonctionnel, comme vous le savez la piscine reste le seul lieu où il y’a deux hectares dédiée au sport de masse à Dakar. Nous comme héritage, nous voulons avoir des infrastructures fonctionnelles.
Et nous pensons à tous ces sports qui sont obligés de sortir de Dakar pour avoir de l’espace. Nous allons avoir un skate parc à Grand Yoff. Et notre objectif est d’aller vers la responsabilité citoyenne. Que la population s’approprie la gestion et l’entretien de ces infrastructures ou espaces que la mairie va avoir. C’est un débat national et il faut que nous tous s’asseyons pour voir comment adhérer au projet Set Dakar Ville Propre ». Alors que la MMA n’est pas encore une discipline reconnue au Sénégal, le représentant du ministre Mr Léopold Diouf annonce que la réflexion va se poursuivre pour organiser certaines disciplines avant les JOJ: « Le MMA n’existe pas en ce moment au Sénégal.
Mais nous savons qu’il est pratiqué actuellement. Si cette manifestation se tient à Dakar, c’est parce que Nous avons juger bon de les mettre en contact avec la fédération sénégalaise de boxe qui est une structure reconnue délégataire de pouvoir. Et elle se chargera d’encadrer les organisateurs des combats MMA qui auront lieu demain. Et nous allons continuer à travailler comme nous le faisons avec d’autres disciplines qui sont au programme des JOJ et qui pour le moment n’ont pas de structures. » Ce soir (17 heures ) à l’esplanade de la musée des civilisations noires aura lieu une compétition de MMA « Areas Fighting Championship ». Deux sénégalais seront en lice : Reug Reug et Moussa Togola.
wiwsport.com
A la veille de la compétition de MMA, les organisateurs de l’événement et leurs partenaires ont invités les acteurs de diverses disciplines à un workshop pour parler des différents enjeux pour lesquels le sport pourrait apporter des solutions. Dakar est devenu une ville hôte d’événements sportifs de niveau continental voire mondial.
Plusieurs événements (Afrobasket, championnats d’Afrique Judo Cadets et Juniors, TQO Handball…) ont eu lieu dans la capitale sénégalaise et se prépare pour les années à venir. Porte d’entrée de l’Afrique de l’ouest, Dakar se prépare à accueillir les Jeux Olympiques de la Jeunesse en 2022 entre autres compétitions. D’où le thème du panel d’experts de la rencontre des acteurs sportifs ce vendredi: « Le rôle des partenariats public-privé dans le développement de la pratique sportive et de l’économie du sport ».
Une activité dont le modérateur est le Professeur Abdoulaye Sakho , fondateur du master en droit et économie du sport. Dakar est aussi l’une des villes choisies pour abriter les compétitions de la ligue africaine de basketball (BAL). Amadou Gallo Fall président de la NBA Afrique et vice-président de la NBA expose le volet économique du BAL. « Nous allons commencer les matchs en 2020 avec 12 équipes de 12 pays qui joueront sur les 6 villes choisies dont Dakar. L’opportunité pour les jeunes talents de l’Afrique de s’exprimer sur leurs terres.
Mais cette compétition permettra aussi de développer tout l’écosystème du sport africain. Avec le modèle NBA nous nous efforçons d’employer dans tous les systèmes les meilleurs ( les meilleurs avocats, les meilleurs marketteurs..). Nous allons diffuser les matchs pour une audience panafricaine voire mondiale. L’objectif de cette ligue est certes une ligue africaine mais aussi créer l’emploi et booster l’économie de chaque ville où se disputera les tournois. »
Occasion saisie aussi par la ville de Dakar représentée par Mme Fanta Diallo de parler du chantier des JOJ et de l’héritage qu’ils légueront à la population. Hôte de cette compétition, Dakar veut avec l’implication de sa population récupérer des espaces et en faire des infrastructures opérationnelles. « Tout ce que nous avons demandé aux investisseurs de récupérer un espace fonctionnel, comme vous le savez la piscine reste le seul lieu où il y’a deux hectares dédiée au sport de masse à Dakar. Nous comme héritage, nous voulons avoir des infrastructures fonctionnelles.
Et nous pensons à tous ces sports qui sont obligés de sortir de Dakar pour avoir de l’espace. Nous allons avoir un skate parc à Grand Yoff. Et notre objectif est d’aller vers la responsabilité citoyenne. Que la population s’approprie la gestion et l’entretien de ces infrastructures ou espaces que la mairie va avoir. C’est un débat national et il faut que nous tous s’asseyons pour voir comment adhérer au projet Set Dakar Ville Propre ». Alors que la MMA n’est pas encore une discipline reconnue au Sénégal, le représentant du ministre Mr Léopold Diouf annonce que la réflexion va se poursuivre pour organiser certaines disciplines avant les JOJ: « Le MMA n’existe pas en ce moment au Sénégal.
Mais nous savons qu’il est pratiqué actuellement. Si cette manifestation se tient à Dakar, c’est parce que Nous avons juger bon de les mettre en contact avec la fédération sénégalaise de boxe qui est une structure reconnue délégataire de pouvoir. Et elle se chargera d’encadrer les organisateurs des combats MMA qui auront lieu demain. Et nous allons continuer à travailler comme nous le faisons avec d’autres disciplines qui sont au programme des JOJ et qui pour le moment n’ont pas de structures. » Ce soir (17 heures ) à l’esplanade de la musée des civilisations noires aura lieu une compétition de MMA « Areas Fighting Championship ». Deux sénégalais seront en lice : Reug Reug et Moussa Togola.
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