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Gilbert Mbengue, DAPS ministre des Sports : « La lutte pas prête pour une fédération »


Rédigé le Jeudi 12 Septembre 2024 à 14:30 | Lu 73 commentaire(s)



Gilbert Mbengue, DAPS ministre des Sports : « La lutte pas prête pour une fédération »
Le ministre de la Jeunesse, des Sports et de la culture, Mme Khady Diène Gaye n’était pas venue. Elle a, plutôt, envoyé son directeur des activités physiques et sportives (DAPS), Gilbert Mbengue. Ce dernier a, ainsi, présidé l’Assemblée générale d’information du CNG tenue, hier, à l’arène nationale. Après le mot de la bienvenue de Bira Sène, président du CNG, le DAPS a pris la parole pour camper le débat, mais, également, avait rappelé l’essentiel de la réunion tout en invitant à la responsabilité de tout un chacun. L’AG s’est tenue sans aucun incident. Ainsi, à la fin des travaux, Gilbert a exprimé toute sa satisfaction. Il a aussi indiqué que le CNG n'est pas prête à aller en fédération présentement.
 « Je suis satisfait du déroulement de l’assemblée générale »
« Je suis venu superviser l’Assemblée générale d’information du comité national de gestion de la lutte (CNG). Globalement, c’est une assemblée qui s’est très bien passée. C’était l’occasion pour les membres du bureau de rendre compte. C’est pourquoi le rapport d’activité et le rapport financier ont été présentés. On a, également, laissé le temps aux acteurs de donner leur appréciation, de faire leur observation et critiques. Je suis satisfait du déroulement de l’assemblée générale dans une bonne ambiance. Les acteurs ont été responsables du début à la fin. Maintenant, nous allons rendre compte à l’autorité ce qui s’est passé ici. »
« La lutte n’est pas encore prête pour aller à une fédération »
« Le CNG a été mis en place par arrêté ministériel. À la fin de chaque mandat, l’autorité renouvelle sa confiance au président sortant tout comme elle peut nommer une autre personne. Une concertation pour la lutte a été tenue il y a quelques années. Et il était question de passer du comité à une fédération. Dans le cadre de la mise en place d’une fédération, il est question d’une certaine structuration des associations, des écoles de lutte. Nous avons constaté, qu’au niveau des associations, il faut un renforcement des écuries et écoles de lutte. Tant que ces écoles et écuries ne sont pas structurées, on ne pourra pas, d’un seul coup, passer à une fédération. Passer à une fédération nécessite un processus. Et c’est pourquoi, j’encourage tous les acteurs à renforcer davantage les écoles et écuries de lutte. La fédération pourra se faire, mais progressivement. »







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