Le plus terrible des drames humains de l'année 2019 sur la planète foot. En forme olympique avec le FC Nantes, Emiliano Sala est deuxième meilleur buteur de Ligue 1 à la trêve de la saison 2018-19 avec 12 buts, trois de moins que Kylian Mbappé.
Lors du mercato d'hiver, Cardiff saute sur l'occasion et offre environ 20 millions d'euros à Waldemar Kita pour l'attaquant. Marché conclu. Avant de définitivement démarrer sa nouvelle aventure au pays de Galles, Sala revient chercher des affaires en Loire-Atlantique et salue ses anciens coéquipiers à la Jonelière.
Les sourires sont éclatants. Une illustration certaine que l'ancien Bordelais allait énormément manquer aux Jaune et Vert. Derrière, il monte dans un petit avion privé de tourisme, le Piper Malibu, pour Cardiff. Décollage en début de soirée. L'avion ne donne plus de signe quelques minutes plus tard, au large de l'île de Guernesey. Il disparaît dans la Manche.
Dans un message vocal envoyé à des amis sur WhatsApp, Sala faisait part de sa peur de l'appareil, ses craintes sur la fiabilité du petit avion qui le transportait : «Je suis dans l'avion, et on dirait qu'il est sur le point de tomber en morceaux. Si vous n'avez pas de nouvelles de moi dans une heure et demie, je ne sais pas s'ils vont envoyer quelqu'un me chercher parce qu'ils ne vont pas me trouver. Qu'est-ce que j'ai peur...».
Le tout alors qu'il avait dévoilé le même scepticisme à Nicolas Pallois, son grand pote au FCN, après le trajet aller. Les recherches démarrent le lendemain, mais aucune nouvelle jusqu'au début février où son corps sera retrouvé sans vie. À la fin du mois, le Nantes - Saint-Étienne sera marqué par de vibrants hommages à l'attaquant. En janvier, une cagnotte pour soutenir les recherches de l'avion dépassera les 300 000 euros pour une disparition qui aura un écho planétaire.
Sport221.com
Lors du mercato d'hiver, Cardiff saute sur l'occasion et offre environ 20 millions d'euros à Waldemar Kita pour l'attaquant. Marché conclu. Avant de définitivement démarrer sa nouvelle aventure au pays de Galles, Sala revient chercher des affaires en Loire-Atlantique et salue ses anciens coéquipiers à la Jonelière.
Les sourires sont éclatants. Une illustration certaine que l'ancien Bordelais allait énormément manquer aux Jaune et Vert. Derrière, il monte dans un petit avion privé de tourisme, le Piper Malibu, pour Cardiff. Décollage en début de soirée. L'avion ne donne plus de signe quelques minutes plus tard, au large de l'île de Guernesey. Il disparaît dans la Manche.
Dans un message vocal envoyé à des amis sur WhatsApp, Sala faisait part de sa peur de l'appareil, ses craintes sur la fiabilité du petit avion qui le transportait : «Je suis dans l'avion, et on dirait qu'il est sur le point de tomber en morceaux. Si vous n'avez pas de nouvelles de moi dans une heure et demie, je ne sais pas s'ils vont envoyer quelqu'un me chercher parce qu'ils ne vont pas me trouver. Qu'est-ce que j'ai peur...».
Le tout alors qu'il avait dévoilé le même scepticisme à Nicolas Pallois, son grand pote au FCN, après le trajet aller. Les recherches démarrent le lendemain, mais aucune nouvelle jusqu'au début février où son corps sera retrouvé sans vie. À la fin du mois, le Nantes - Saint-Étienne sera marqué par de vibrants hommages à l'attaquant. En janvier, une cagnotte pour soutenir les recherches de l'avion dépassera les 300 000 euros pour une disparition qui aura un écho planétaire.
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