Journée presque ordinaire que ce mercredi 9 mai 2018 pour les joueurs du Vendée Les Herbiers Football (VHF). La veille, ils ont affronté le Paris Saint-Germain (PSG) en finale de la Coupe de France au Stade de France à Paris.
Mais dès le lendemain, ils ont repris le chemin de la compétition dans le championnat de 3e division, le National.
Ils ne sont pas passés inaperçus sur le quai.
« Une soirée magnifique »
Matthieu Pichot, gardien du VHF : « C’était une soirée magnifique pour les joueurs et pour les Vendéens qui se sont déplacés. On a profité. On était content d’avoir réussi à ramener autant de Vendéens au Stade de France. Il y avait énormément de bruit. Le virage rouge et noir, aux couleurs des Herbiers et de la Vendée : c’est quelque chose qui restera gravé dans notre mémoire. C’était trois à quatre jours extraordinaires. Nous sommes passés par Clairefontaine. Nous étions dans de superbes conditions, et on a réussi à faire un bon match. Ça nous tenait à cœur. On entendait qu’on allait prendre une valise, et on a fait bonne figure. Pour jouer contre le Paris Saint-Germain, il faut y mettre beaucoup de cœur, beaucoup de courage. Ça va très vite. Moralement, on est fatigués, on n’a pas beaucoup dormi pour prendre le train. On va aller à Béziers pour prendre un point. Non, ce n’est pas difficile de tourner la page de la Coupe de France en si peu de temps : on est des professionnels, on connaît notre job. »
« Un mur rouge au Stade de France »
Romuald Marie, défenseur de l’équipe du VHF : « C’était exceptionnel. Ce que je retiens, c’est ce véritable mur rouge au Stade de France. À la fin du match, on se poste devant ce mur rouge de supporteurs : c’est très représentatif. On sent cette année la naissance d’un vrai groupe, exceptionnel. Voir tout le groupe ensemble, y compris les remplaçants et ceux qui n’étaient pas sur la feuille de match. Cette Coupe de France a lancé le kop herbretais. On remarque un engouement des Herbiers, de la Vendée. D’en bas, c’est exceptionnel à voir. »
« On a tous été solidaires »
Romuald Marie, défenseur de l’équipe du VHF : « Jouer le Paris Saint-Germain, c’est compliqué. Mais on a tous été solidaire. C’est ça qui a été beau. On était tout compact, on avait tous le même objectif. On retient tout un ensemble. Le souvenir est encore trop frais. Pour l’instant on retient le match en lui-même. Le fait de n’être qu’à 1-0 à la mi-temps, c’est déjà énorme. On y croyait ! On savait qu’on pouvait tenter notre coup, et on a joué notre carte à fond. Le coach avait énormément insisté sur la discipline. On a mis un petit plan en place. On a été très respectueux des consignes défensives. On a joué le peu de cartes offensives que l’on avait, à fond. »
« Nous n’avons pas beaucoup dormi »
Romuald Marie, défenseur de l’équipe du VHF : « Avec l’émotion, nous n’avons pas beaucoup dormi. On a retrouvé nos amis et notre famille au Stade de France pour partager un petit moment entre nous. Puis nous sommes retournés à l’hôtel pour récupérer. Pour ceux qui y arrivent : essayer de dormir. Pour ma part, après un match, c’est difficile de s’endormir, mais là… Il y avait beaucoup de choses dans les têtes. »
« Beaucoup d’émotion »
« Nous sommes fatigués, parce que c’était intense. Il y avait beaucoup d’émotion. On n’a pas le temps de savourer et de récupérer de notre fatigue, car nous avons un match très important à jouer contre Béziers. On doit direct passer à ce match-là. La Coupe de France, ça reste éphémère. Si l’on tient au niveau National, c’est le plus important. »
Difficile de tourner la page ?
Romuald Marie, défenseur de l’équipe du VHF : « Oui et non, on n’a pas le temps de trop cogiter. D’un côté, ce n’est pas plus mal, on sera directement dans le bain. Il y a le fait de ne pas rentrer directement aux Herbiers : on restera concentré. »
Fêter le parcours ?
Romuald Marie, défenseur de l’équipe du VHF : « Si on a le maintien, la fête sera plus belle. Sinon, ça va nous laisser un petit goût amer. Si on a le maintien, on fêtera ça à fond. On va arriver à Béziers, on sera pas mal tournés sur de la récupération. »
Mais dès le lendemain, ils ont repris le chemin de la compétition dans le championnat de 3e division, le National.
Ils ne sont pas passés inaperçus sur le quai.
« Une soirée magnifique »
Matthieu Pichot, gardien du VHF : « C’était une soirée magnifique pour les joueurs et pour les Vendéens qui se sont déplacés. On a profité. On était content d’avoir réussi à ramener autant de Vendéens au Stade de France. Il y avait énormément de bruit. Le virage rouge et noir, aux couleurs des Herbiers et de la Vendée : c’est quelque chose qui restera gravé dans notre mémoire. C’était trois à quatre jours extraordinaires. Nous sommes passés par Clairefontaine. Nous étions dans de superbes conditions, et on a réussi à faire un bon match. Ça nous tenait à cœur. On entendait qu’on allait prendre une valise, et on a fait bonne figure. Pour jouer contre le Paris Saint-Germain, il faut y mettre beaucoup de cœur, beaucoup de courage. Ça va très vite. Moralement, on est fatigués, on n’a pas beaucoup dormi pour prendre le train. On va aller à Béziers pour prendre un point. Non, ce n’est pas difficile de tourner la page de la Coupe de France en si peu de temps : on est des professionnels, on connaît notre job. »
« Un mur rouge au Stade de France »
Romuald Marie, défenseur de l’équipe du VHF : « C’était exceptionnel. Ce que je retiens, c’est ce véritable mur rouge au Stade de France. À la fin du match, on se poste devant ce mur rouge de supporteurs : c’est très représentatif. On sent cette année la naissance d’un vrai groupe, exceptionnel. Voir tout le groupe ensemble, y compris les remplaçants et ceux qui n’étaient pas sur la feuille de match. Cette Coupe de France a lancé le kop herbretais. On remarque un engouement des Herbiers, de la Vendée. D’en bas, c’est exceptionnel à voir. »
« On a tous été solidaires »
Romuald Marie, défenseur de l’équipe du VHF : « Jouer le Paris Saint-Germain, c’est compliqué. Mais on a tous été solidaire. C’est ça qui a été beau. On était tout compact, on avait tous le même objectif. On retient tout un ensemble. Le souvenir est encore trop frais. Pour l’instant on retient le match en lui-même. Le fait de n’être qu’à 1-0 à la mi-temps, c’est déjà énorme. On y croyait ! On savait qu’on pouvait tenter notre coup, et on a joué notre carte à fond. Le coach avait énormément insisté sur la discipline. On a mis un petit plan en place. On a été très respectueux des consignes défensives. On a joué le peu de cartes offensives que l’on avait, à fond. »
« Nous n’avons pas beaucoup dormi »
Romuald Marie, défenseur de l’équipe du VHF : « Avec l’émotion, nous n’avons pas beaucoup dormi. On a retrouvé nos amis et notre famille au Stade de France pour partager un petit moment entre nous. Puis nous sommes retournés à l’hôtel pour récupérer. Pour ceux qui y arrivent : essayer de dormir. Pour ma part, après un match, c’est difficile de s’endormir, mais là… Il y avait beaucoup de choses dans les têtes. »
« Beaucoup d’émotion »
« Nous sommes fatigués, parce que c’était intense. Il y avait beaucoup d’émotion. On n’a pas le temps de savourer et de récupérer de notre fatigue, car nous avons un match très important à jouer contre Béziers. On doit direct passer à ce match-là. La Coupe de France, ça reste éphémère. Si l’on tient au niveau National, c’est le plus important. »
Difficile de tourner la page ?
Romuald Marie, défenseur de l’équipe du VHF : « Oui et non, on n’a pas le temps de trop cogiter. D’un côté, ce n’est pas plus mal, on sera directement dans le bain. Il y a le fait de ne pas rentrer directement aux Herbiers : on restera concentré. »
Fêter le parcours ?
Romuald Marie, défenseur de l’équipe du VHF : « Si on a le maintien, la fête sera plus belle. Sinon, ça va nous laisser un petit goût amer. Si on a le maintien, on fêtera ça à fond. On va arriver à Béziers, on sera pas mal tournés sur de la récupération. »