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Contribution de Sathiomby Diop: Pour une restructuration administrative des écrits et écoles de lutte !


Rédigé le Lundi 2 Septembre 2024 à 13:43 | Lu 99 commentaire(s)



Contribution de Sathiomby Diop: Pour une restructuration administrative des écrits et écoles de lutte !
Lorsqu’à l’occasion du dernier face à face qui a regroupé Ama BALDÉ – Gris Bordeaux – Balla GAYE 2 et Tapha TINE, j’ai observé en même temps que de nombreux téléspectateurs, le comportement insurrectionnel de ces détracteurs qui, faisant chorus ont déclenché sur le CNG, des critiques passionnées et excessives, sous le prétexte fallacieux que les sanctions financières, ne sauraient être acceptées d’autant, qu’ils en ignoraient les motifs évoqués. Des souvenirs décourageants me reviennent à l’esprit.
Lorsque, pour contester la décision de l’arbitre, lors de son second combat contre Bombardier, Tyson a refusé ostensiblement, d’observer la décision de l’arbitre, et a quitté délibérément l’arène que devrait être la réaction responsable du manager qui avait, signé le contrat et encaissé sa quote-part du cachet ?
Une autre scène affligeante : lors du dernier face à face Modou LO – Ama BALDÉ, tous les téléspectateurs ont assisté ahuris, à l’attitude malaisée du manager d’Ama BALDÉ, qui ne savait même pas si son lutteur allait respecter les clauses du contrat. Ce dernier avait pourtant encaissé sa part du cachet dépensé par le promoteur. Dernièrement, je n’ai pas compris le comportement de Thiatou Yarakh, refusant manifestement de livrer bataille, contre Doudou SANE contestant à son tour et sans restriction, l’exhaustivité des clauses du contrat qui régissent le championnat de lutte avec frappe CLAF dont le combat terminal a toujours opposé les champions des deux poules lors d’une finale. En collationnant ces impairs, rappelés ci – dessus, je dois en vérité, m’interroger sur la conception administrative effective des écuries et école de lutte.
Quelle est la mission réelle  confiée au président qui doit tout à la fois, occuper la première place, être la pierre angulaire de l’architecture. Il a le droit de maintenir l’ordre, de contrôler rigoureusement les fonctions dévolues aux différents membres du bureau et organiser l’exhibition  des lutteurs licenciés à l’écurie où à l’école de lutte. Le manager signe les contrats et les clauses, encaisse sa part du cachet des lutteurs, doit faire partie obligatoirement de l’écurie, et être responsable devant le bureau de l'écurie pour éviter de créer des conditions, qui poussent le CNG à sanctionner financièrement les failles dans l'exécution des contrats qui  lient le promoteur, non seulement avec le lutteur, mais, avec l'administration de l'écurie ou de l'école. La bonne préparation d'un combat doit être effectivement gérée et son issue être l'objet d'une réunion critique et objective. Dans les écuries et les écoles de lutte, c'est le leader qui triste jalousement les montants colossaux générés par les contrats et les retombées provenant du sponsoring. Un règlement intérieur de l'écurie et de l'école doit exiger que le leader verse une part de ses ressources, pour le fonctionnement de l'écurie et aussi, l'entretien des jeunes licenciés qui jouent un rôle irremplaçable dans la préparation des combats des leaders. En souhaitant que les écuries, les écoles de lutte, les managers soient convaincus sportivement du bien fondé de ma requête, m'est avis, qu'ils profiteront de la morte saison avec l'assistance effective du CNG pour réaliser une véritable promotion professionnelle de l'administration effective des écuries et écoles de lutte.
                                                                                                           Sathiomby DIOP
                                                                                                          Tél : 77 634 69 26







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