Dakar va accueillir la 2e édition des championnats d’Afrique de Beach wrestling (lutte de plage) les 22 et 23 juin 2024. Une compétition que le Sénégal compte réussir le pari de l’organisation pour ainsi vulgariser cette discipline qui de par son règlement général, est différente de la lutte africaine.
Après Hammamet 2023, les yeux sont désormais rivés sur Dakar où pendant deux jours de compétition (22 et 23 juin), les lutteurs africains vont batailler ferme pour hisser leur nation sur le toit du continent. Avec 33 pays en lice (Afrique de l’Ouest, Maghreb , Afrique du Sud ect.), ces 2es championnats d’Afrique de lutte de plage (Beach Wrestling) se dérouleront pour la première fois au Sénégal, aura ainsi une grande attraction.
Pour Khalifa Sow, Directeur Technique Nationale, ce choix de confier l’organisation au Sénégal n’est pas fortuit. « Le choix du Sénégal comme pays hôte n’est pas anodin car c’est l’un des seuls pays ou d’octobre au moi d’août il y’a de la lutte à l’arène nationale. Dans les régions aussi c’est pareil et il y’a même des combats pendant toute la semaine » a-t-il confié sur Albourakh TV.
Enceinte réduite, Un round de 3 minutes pour chaque combat…
Le DTN de préciser à l’endroit des profanes, que cette discipline de « beach wrestling » est différente de la lutte africaine à bien des égards : circonférence de l’enceinte, tenue de combat, et temps de combat etc…
« La lutte africaine est un peu différente du Beach Wrestling qui signifie lutte de plage. C’est une lutte qui se pratique sur du sable avec quatre catégories de poids aussi bien chez les femmes que chez les hommes. Chez les dames il y’a les 50 kg, 60, 70 et +70 kg tandis que chez les hommes il y’a les 70, 80, 90 et plus de 90 kg. Contrairement à la lutte africaine où on a onze mètres, le diamètre de l’enceinte du Beach Wrestling est de sept (7) mètres. Donc l’enceinte est plus petite. Une autre différence se situe au niveau des tenues. En lutte africaine, les lutteurs portent des pagnes traditionnelles alors qu’en lutte de plage tous le monde porte de culottes (2 pièces pour les dames). Le temps de combat est aussi plus court car c’est uniquement une manche de 3 minutes » renseigne t’il.
Sur le règlement, Khalifa Sow note : « Il n’y a pas la règle des trois appuis mais si un des appuis touche le sol mis à part les mains, l’adversaire marque un point. Si un des lutteurs sort également de l’enceinte, son vis à vis marque un point. Ainsi, celui qui réussit à marquer trois points remporte la victoire. Il faut aussi noter qu’on peut avoir trois points d’un coup si on parvient à terrasser son adversaire en le mettant entièrement à terre »
Wiwsports
Après Hammamet 2023, les yeux sont désormais rivés sur Dakar où pendant deux jours de compétition (22 et 23 juin), les lutteurs africains vont batailler ferme pour hisser leur nation sur le toit du continent. Avec 33 pays en lice (Afrique de l’Ouest, Maghreb , Afrique du Sud ect.), ces 2es championnats d’Afrique de lutte de plage (Beach Wrestling) se dérouleront pour la première fois au Sénégal, aura ainsi une grande attraction.
Pour Khalifa Sow, Directeur Technique Nationale, ce choix de confier l’organisation au Sénégal n’est pas fortuit. « Le choix du Sénégal comme pays hôte n’est pas anodin car c’est l’un des seuls pays ou d’octobre au moi d’août il y’a de la lutte à l’arène nationale. Dans les régions aussi c’est pareil et il y’a même des combats pendant toute la semaine » a-t-il confié sur Albourakh TV.
Enceinte réduite, Un round de 3 minutes pour chaque combat…
Le DTN de préciser à l’endroit des profanes, que cette discipline de « beach wrestling » est différente de la lutte africaine à bien des égards : circonférence de l’enceinte, tenue de combat, et temps de combat etc…
« La lutte africaine est un peu différente du Beach Wrestling qui signifie lutte de plage. C’est une lutte qui se pratique sur du sable avec quatre catégories de poids aussi bien chez les femmes que chez les hommes. Chez les dames il y’a les 50 kg, 60, 70 et +70 kg tandis que chez les hommes il y’a les 70, 80, 90 et plus de 90 kg. Contrairement à la lutte africaine où on a onze mètres, le diamètre de l’enceinte du Beach Wrestling est de sept (7) mètres. Donc l’enceinte est plus petite. Une autre différence se situe au niveau des tenues. En lutte africaine, les lutteurs portent des pagnes traditionnelles alors qu’en lutte de plage tous le monde porte de culottes (2 pièces pour les dames). Le temps de combat est aussi plus court car c’est uniquement une manche de 3 minutes » renseigne t’il.
Sur le règlement, Khalifa Sow note : « Il n’y a pas la règle des trois appuis mais si un des appuis touche le sol mis à part les mains, l’adversaire marque un point. Si un des lutteurs sort également de l’enceinte, son vis à vis marque un point. Ainsi, celui qui réussit à marquer trois points remporte la victoire. Il faut aussi noter qu’on peut avoir trois points d’un coup si on parvient à terrasser son adversaire en le mettant entièrement à terre »
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