Le Sénégal et la Côte d'Ivoire se rencontrent ce lundi 29 janvier, à 20h 00, à Yamoussoukro pour un huitième de finale qui s'annonce palpitant. Même si les « Lions » sont favoris du match, ils doivent se méfier des Eléphants, surtout que le bilan des 6 dernières confrontations est en faveur des Ivoiriens : 3 victoires, 2 nuls et 1 défaite.
On se rappelle tous du fameux match joué le 13 octobre 2012 au stade Léopold Sédar Senghor de Dakar, lors des éliminatoires de la CAN Afrique du Sud-2013. En effet, de violents incidents, qui avaient éclaté à un quart d'heure de la fin du match, avaient poussé les officiels à arrêter le match. Dans la foulée, la CAF avait sanctionné le Sénégal.
L'heure de la revanche a donc sonné ! Mais le Sénégal doit faire très attention, parce que l'histoire renseigne, que, les équipes, qui font le carton plein, rencontrent souvent des difficultés en phase à élimination directe.
La preuve ? Seules 5 nations sur 21 sont allées jusqu'au bout de la compétition après un parcours sans faute en poule. Il s'agit du Ghana en 1956 (poule de 3 équipes), de l'Algérie deux fois en 1990 et 2019, du Cameroun en 2002 et de l'Égypte en 2010.
Éliminer pour la première fois fois un pays hôte
Les « Lions » sont donc avertis. Il ne suffit pas de gagner tous ses matchs de poules pour être champion d'Afrique. Des pays ont eu à réaliser les mêmes performances dans le passé et décevoir au finish.
La dernière en date, le Nigeria en 2022 au Cameroun. Premier du groupe devant l'Égypte, D le Sou- dan et la Guinée-Bissau, les Super Eagles ont été éliminés en huitièmes de finale par la Tunisie (0- 1), après un 3/3 en poule.
Face à la Côte d'Ivoire, le Sénégal voudra gagner pour faire mentir les chiffres, puisque le Sénégal, qui croise pour la 8ème fois le pays organisateur, rencontre souvent des difficultés : 1 victoire, 1 nul et 5 défaites, rapporte « Stades ».
Sevrés de victoire devant le pays hôte depuis la CAN Égypte 1986 (1-0), les « Lions » ont raté toutes leurs sorties en phase à élimination directe contre le pays organisateur en 4 confrontations (1990, 2000, 2004 et 2006).
Ce lundi, les partenaires de Sadio Mané seront attendus par tout un peuple pour réparer ce qu'on peut appeler « une anomalie de l'histoire du football africain ».
On se rappelle tous du fameux match joué le 13 octobre 2012 au stade Léopold Sédar Senghor de Dakar, lors des éliminatoires de la CAN Afrique du Sud-2013. En effet, de violents incidents, qui avaient éclaté à un quart d'heure de la fin du match, avaient poussé les officiels à arrêter le match. Dans la foulée, la CAF avait sanctionné le Sénégal.
L'heure de la revanche a donc sonné ! Mais le Sénégal doit faire très attention, parce que l'histoire renseigne, que, les équipes, qui font le carton plein, rencontrent souvent des difficultés en phase à élimination directe.
La preuve ? Seules 5 nations sur 21 sont allées jusqu'au bout de la compétition après un parcours sans faute en poule. Il s'agit du Ghana en 1956 (poule de 3 équipes), de l'Algérie deux fois en 1990 et 2019, du Cameroun en 2002 et de l'Égypte en 2010.
Éliminer pour la première fois fois un pays hôte
Les « Lions » sont donc avertis. Il ne suffit pas de gagner tous ses matchs de poules pour être champion d'Afrique. Des pays ont eu à réaliser les mêmes performances dans le passé et décevoir au finish.
La dernière en date, le Nigeria en 2022 au Cameroun. Premier du groupe devant l'Égypte, D le Sou- dan et la Guinée-Bissau, les Super Eagles ont été éliminés en huitièmes de finale par la Tunisie (0- 1), après un 3/3 en poule.
Face à la Côte d'Ivoire, le Sénégal voudra gagner pour faire mentir les chiffres, puisque le Sénégal, qui croise pour la 8ème fois le pays organisateur, rencontre souvent des difficultés : 1 victoire, 1 nul et 5 défaites, rapporte « Stades ».
Sevrés de victoire devant le pays hôte depuis la CAN Égypte 1986 (1-0), les « Lions » ont raté toutes leurs sorties en phase à élimination directe contre le pays organisateur en 4 confrontations (1990, 2000, 2004 et 2006).
Ce lundi, les partenaires de Sadio Mané seront attendus par tout un peuple pour réparer ce qu'on peut appeler « une anomalie de l'histoire du football africain ».