Mario avait finalement choisi de revenir dans le club de son coeur, Brescia. Promue en Serie A cette saison, la formation lombarde pensait alors avoir réalisé l’un de ses plus beaux coups du mercato, après avoir pu conserver l’un de ses joyaux, le jeune milieu de terrain Sandro Tonali (19 ans, convoité par l’Inter et le PSG entre autres).
Malheureusement, ça ne se passe pas vraiment comme prévu.
Face à tout ce remue-ménage, le président du club, Massimo Cellino, a profité d’une assemblée générale de la Serie A pour faire le point sur cette situation. Et sa première phrase n’a pas manqué de provoquer une énorme polémique en Italie.
« Il est noir mais il travaille pour s’éclaircir, mais il a des difficultés. Mario donne plus de poids aux réseaux sociaux qu’à sa valeur sportive. Je ne l’ai pas recruté pour les réseaux sociaux parce qu’il peut encore donner quelque chose au monde du football, quand il sera en condition de le faire.
Le jour où il le sera, il répondra sur le terrain et il nous donnera cette valeur ajoutée. S’il le veut, il peut nous apporter une valeur ajoutée, mais nous ne pouvons le lui reprocher. »
Personne ne sait vraiment si sa première phrase était ironique ou non vis-à-vis des différents problèmes de racismes survenus en Italie.
FOOTMERCATO
Malheureusement, ça ne se passe pas vraiment comme prévu.
Face à tout ce remue-ménage, le président du club, Massimo Cellino, a profité d’une assemblée générale de la Serie A pour faire le point sur cette situation. Et sa première phrase n’a pas manqué de provoquer une énorme polémique en Italie.
« Il est noir mais il travaille pour s’éclaircir, mais il a des difficultés. Mario donne plus de poids aux réseaux sociaux qu’à sa valeur sportive. Je ne l’ai pas recruté pour les réseaux sociaux parce qu’il peut encore donner quelque chose au monde du football, quand il sera en condition de le faire.
Le jour où il le sera, il répondra sur le terrain et il nous donnera cette valeur ajoutée. S’il le veut, il peut nous apporter une valeur ajoutée, mais nous ne pouvons le lui reprocher. »
Personne ne sait vraiment si sa première phrase était ironique ou non vis-à-vis des différents problèmes de racismes survenus en Italie.
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