Abdoulaye Seydou Sow, vice-président de la Fédération sénégalaise de Football (FSF), s’est exprimé sur la situation qui prévaut après le départ de l’ancien sélectionneur Aliou Cissé.
Il a reconnu que ce départ a affecté beaucoup de personnes, mais il reste confiant quant à la capacité du groupe à surmonter cette transition délicate.
« C’est vrai que le départ d’Aliou Cissé a touché pas mal de personnes, mais c’est la même cohésion de groupe. Je pense que si tout le monde s’y met, on va réussir la transition et choisir un entraîneur », a-t-il affirmé au micro de Dsports appelant à l’unité au sein de la Fédération et des acteurs du football sénégalais.
Interrogé sur les potentiels successeurs, notamment les noms d’Habib Bèye, Hervé Renard et Omar Daff qui circulent, Abdoulaye Seydou Sow a évoqué les tentatives de lobbying, tout en rappelant que la Fédération n’a encore pris aucune décision officielle.
« Chacun essaie de faire du lobbying pour son candidat, mais la fédération, dont je suis membre, ne s’est pas encore prononcée sur ce sujet. Il faudra d’abord qu’on en parle avec le ministère, qu’on fixe les objectifs avant que la fédération propose des profils au ministère », a-t-il précisé.
Sow a insisté sur la nécessité de mener ce processus avec calme et organisation, en mettant de côté les pressions externes pour faire un choix réfléchi et dans l’intérêt du pays.
« Le plus important, c’est de terminer ces deux matchs et de trouver un entraîneur à la dimension de l’équipe nationale du Sénégal. Cela doit se faire dans la sérénité, dans l’organisation, en évitant le lobbying et en mettant l’intérêt du Sénégal au-dessus de tout », a-t-il conclu.
« La ministre des Sports doit connaître ses responsabilités »
Abdoulaye Sow a également évoqué les relations parfois tendues entre la FSF et le ministère des Sports. Sans parler directement de tensions, il a souligné des ambiguïtés et des comportements qui, selon lui, freinent une collaboration harmonieuse entre ces deux entités clés du football sénégalais.
« Je ne dirai pas qu’il y a des tensions entre les deux entités, mais la ministre doit connaître ses responsabilités et essayer de travailler main dans la main avec tout le monde. Si l’intérêt du Sénégal est en jeu, il ne faut pas se concentrer sur autre chose ».
Le vice-président de la FSF a également pointé du doigt certaines pratiques qu’il juge contre-productives. « Il y a certains comportements et pratiques qui ne favorisent pas une bonne entente. Il ne faut pas faire la fine bouche, c’est un fait. Les acteurs doivent s’asseoir autour d’une table pour trouver une solution », a-t-il insisté.
Pour lui, le dialogue reste la voie à suivre afin de résoudre ces différends. Sow a tenu à rappeler que les hommes passent, mais que les institutions demeurent, soulignant ainsi l’importance de maintenir une coopération fluide entre le ministère et la fédération.
Dsports
Il a reconnu que ce départ a affecté beaucoup de personnes, mais il reste confiant quant à la capacité du groupe à surmonter cette transition délicate.
« C’est vrai que le départ d’Aliou Cissé a touché pas mal de personnes, mais c’est la même cohésion de groupe. Je pense que si tout le monde s’y met, on va réussir la transition et choisir un entraîneur », a-t-il affirmé au micro de Dsports appelant à l’unité au sein de la Fédération et des acteurs du football sénégalais.
Interrogé sur les potentiels successeurs, notamment les noms d’Habib Bèye, Hervé Renard et Omar Daff qui circulent, Abdoulaye Seydou Sow a évoqué les tentatives de lobbying, tout en rappelant que la Fédération n’a encore pris aucune décision officielle.
« Chacun essaie de faire du lobbying pour son candidat, mais la fédération, dont je suis membre, ne s’est pas encore prononcée sur ce sujet. Il faudra d’abord qu’on en parle avec le ministère, qu’on fixe les objectifs avant que la fédération propose des profils au ministère », a-t-il précisé.
Sow a insisté sur la nécessité de mener ce processus avec calme et organisation, en mettant de côté les pressions externes pour faire un choix réfléchi et dans l’intérêt du pays.
« Le plus important, c’est de terminer ces deux matchs et de trouver un entraîneur à la dimension de l’équipe nationale du Sénégal. Cela doit se faire dans la sérénité, dans l’organisation, en évitant le lobbying et en mettant l’intérêt du Sénégal au-dessus de tout », a-t-il conclu.
« La ministre des Sports doit connaître ses responsabilités »
Abdoulaye Sow a également évoqué les relations parfois tendues entre la FSF et le ministère des Sports. Sans parler directement de tensions, il a souligné des ambiguïtés et des comportements qui, selon lui, freinent une collaboration harmonieuse entre ces deux entités clés du football sénégalais.
« Je ne dirai pas qu’il y a des tensions entre les deux entités, mais la ministre doit connaître ses responsabilités et essayer de travailler main dans la main avec tout le monde. Si l’intérêt du Sénégal est en jeu, il ne faut pas se concentrer sur autre chose ».
Le vice-président de la FSF a également pointé du doigt certaines pratiques qu’il juge contre-productives. « Il y a certains comportements et pratiques qui ne favorisent pas une bonne entente. Il ne faut pas faire la fine bouche, c’est un fait. Les acteurs doivent s’asseoir autour d’une table pour trouver une solution », a-t-il insisté.
Pour lui, le dialogue reste la voie à suivre afin de résoudre ces différends. Sow a tenu à rappeler que les hommes passent, mais que les institutions demeurent, soulignant ainsi l’importance de maintenir une coopération fluide entre le ministère et la fédération.
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