Alors que toute l’Afrique s’apprête à vivre la grand-messe de la balle au panier, du 8 au 16 septembre prochain, à Dakar, au Sénégal et à Tunis, en Tunisie, la Fédération ivoirienne de basket-ball (Fibb) est en proie au doute. Le président Mathieu Agui-Miézan, au bout du rouleau, pourrait, d’un moment à l’autre, se présenter devant la presse pour annoncer officiellement la mauvaise nouvelle.
C’est que sur un budget de 100 millions de FCfa alloué à la Fibb pour les compétitions internationales 2016-2017, il reste à peine 35, 3 millions. L’Office national des sports (Ons) l’a d’ailleurs signifié, par courrier, il y a une semaine, au comité directeur de la Fédération. Le courrier invitait, par la même occasion, la Fédération à faire ses prévisions en fonction de cette cagnotte. S’ils ne trouvent pas de moyens additionnels, Agui-Mathieu et ses collaborateurs envisagent sérieusement de jeter l’éponge. Du coup, l’Afrobasket dames qui a lieu du 18 au 29 août, à Bamako, au Mali, mais aussi la compétition des hommes programmée simultanément à Dakar et à Tunis au mois de septembre sont hypothéqués.
Un coup dur pour l’épreuve reine continentale déjà fragilisée par le désistement du Congo et de l’Angola, précédemment désignés pour l’organisation du tournoi masculin.
C’est que sur un budget de 100 millions de FCfa alloué à la Fibb pour les compétitions internationales 2016-2017, il reste à peine 35, 3 millions. L’Office national des sports (Ons) l’a d’ailleurs signifié, par courrier, il y a une semaine, au comité directeur de la Fédération. Le courrier invitait, par la même occasion, la Fédération à faire ses prévisions en fonction de cette cagnotte. S’ils ne trouvent pas de moyens additionnels, Agui-Mathieu et ses collaborateurs envisagent sérieusement de jeter l’éponge. Du coup, l’Afrobasket dames qui a lieu du 18 au 29 août, à Bamako, au Mali, mais aussi la compétition des hommes programmée simultanément à Dakar et à Tunis au mois de septembre sont hypothéqués.
Un coup dur pour l’épreuve reine continentale déjà fragilisée par le désistement du Congo et de l’Angola, précédemment désignés pour l’organisation du tournoi masculin.