Rennes l'a fait ! Frustré après le match aller, où il avait mené 3-1 avant de concéder le résultat nul (3-3), le club breton a réussi à forcer son destin pour s'imposer sur la pelouse du Betis Séville (1-3), ce jeudi, lors du 16e de finale retour de la Ligue Europa. Une très belle performance de la formation française, qui sort un des épouvantails de la compétition et qui signe déjà le plus beau parcours de son histoire en Coupe d'Europe.
Bensebaini fait mal au Betis, Lo Celso relance les Andalous
Comme prévu, le club espagnol mettait d'entrée le pied sur le ballon. Mais que ce soit Lo Celso ou Canales, aucun des deux milieux offensifs ne parvenait à bousculer une solide défense rennaise. Mieux encore, les Rouge et Noir ne baissaient pas les yeux et jouaient à fond les coups. Sur son premier corner, le club français trouvait même la faille grâce à une tête de Bensebaini (0-1, 22e). Un premier but européen pour l'Algérien, tout proche du doublé sur un nouveau corner dans les minutes qui suivaient.
Surpris, les Andalous se montraient nerveux, à l'image de Quique Setién, très agacé. Jesé aurait pu redonner le sourire à son entraîneur, mais le joueur appartenant au PSG perdait son duel avec Koubek. Un arrêt important puisque le SRFC en remettait une couche dans la foulée. Sur un contre rondement mené par Ben Arfa, Sarr servait Hunou, qui ne tremblait pas au second poteau (0-2, 30e). Le Betis pouvait-il se relever ? Avant la pause, Lo Celso, comme à l'aller, relançait son équipe en crucifiant Koubek d'un plat du pied sécurité (1-2, 41e).
Niang éteint la lumière
Au retour des vestiaires, le Betis mettait encore un peu plus la pression, notamment par Canales, de plus en plus tranchant dans ses percées. Mais Rennes restait sur ses gardes et contenait assez aisément la bande à Jesé, pas assez inspirée dans les trente derniers mètres. En dehors de quelques tentatives écrasées de Loren et Joaquin, Koubek passait une seconde période relativement tranquille. Dans le dernier quart d'heure, les Rennais avaient même de belles opportunités en contre mais manquaient de justesse dans la dernière passe. Niang, pourtant seul, ratait lui le ballon du 3-1 alors qu'il avait tout le temps d'ajuster Joel... Une action sans conséquence puisque le Sénégalais se rattrapait à la dernière minute en éteignant définitivement l'enceinte espagnole après un contre éclair sur une percée monumentale de Ben Arfa (1-3, 90e+4). Un exploit, un vrai !
Bensebaini fait mal au Betis, Lo Celso relance les Andalous
Comme prévu, le club espagnol mettait d'entrée le pied sur le ballon. Mais que ce soit Lo Celso ou Canales, aucun des deux milieux offensifs ne parvenait à bousculer une solide défense rennaise. Mieux encore, les Rouge et Noir ne baissaient pas les yeux et jouaient à fond les coups. Sur son premier corner, le club français trouvait même la faille grâce à une tête de Bensebaini (0-1, 22e). Un premier but européen pour l'Algérien, tout proche du doublé sur un nouveau corner dans les minutes qui suivaient.
Surpris, les Andalous se montraient nerveux, à l'image de Quique Setién, très agacé. Jesé aurait pu redonner le sourire à son entraîneur, mais le joueur appartenant au PSG perdait son duel avec Koubek. Un arrêt important puisque le SRFC en remettait une couche dans la foulée. Sur un contre rondement mené par Ben Arfa, Sarr servait Hunou, qui ne tremblait pas au second poteau (0-2, 30e). Le Betis pouvait-il se relever ? Avant la pause, Lo Celso, comme à l'aller, relançait son équipe en crucifiant Koubek d'un plat du pied sécurité (1-2, 41e).
Niang éteint la lumière
Au retour des vestiaires, le Betis mettait encore un peu plus la pression, notamment par Canales, de plus en plus tranchant dans ses percées. Mais Rennes restait sur ses gardes et contenait assez aisément la bande à Jesé, pas assez inspirée dans les trente derniers mètres. En dehors de quelques tentatives écrasées de Loren et Joaquin, Koubek passait une seconde période relativement tranquille. Dans le dernier quart d'heure, les Rennais avaient même de belles opportunités en contre mais manquaient de justesse dans la dernière passe. Niang, pourtant seul, ratait lui le ballon du 3-1 alors qu'il avait tout le temps d'ajuster Joel... Une action sans conséquence puisque le Sénégalais se rattrapait à la dernière minute en éteignant définitivement l'enceinte espagnole après un contre éclair sur une percée monumentale de Ben Arfa (1-3, 90e+4). Un exploit, un vrai !
Source: MaxifootLe troisième but des Niang et les socios du Betis applaudissant en réclamant la tête de Quique Setién pic.twitter.com/jAjpcsQpzN
— Benjamin Idrac (@bidrac15) 21 février 2019