Le Sénégal est encore une fois à la pointe du combat contre le dopage dans le sport mondial à travers la 5ème réunion de la Convention des parties pour la lutte contre le dopage dans le sport (COP, une branche de l’Unesco). La cérémonie d’ouverture qui s’est tenue en présence de Mme Gabriella Ramos ; directrice générale adjointe des sciences sociale et humaines de l’Unesco et d’imminentes personnalités, a été une occasion pour Matar Bâ qui occupe la vice-présidence du bureau de la COP8 (Afrique), de réitérer l’engagement du Sénégal à se battre pour un sport sain, encadré et protégé, l’épanouissement mais aussi de poursuivre la participation au niveau du fonds mondial antidopage.
Dakar accueille depuis ce jeudi 27 avril, la 5e réunion de la Convention des parties pour la lutte contre le dopage dans le sport (COP ), qui est une branche de l’Unesco. La cérémonie d’ouverture s’est tenue hier, vendredi 28 avril en présence de la sous-directrice Mme Gabriela Ramos ; le vice-président du Bureau COP, Marcos Diaz de la République dominicaine ainsi que d’imminentes personnalités du monde sportif.
Organisé pour la deuxième fois dans la capitale sénégalaise, cette rencontre est une occasion pour le Sénégal d’afficher son engagement dans le domaine de la lutte contre dopage dans le sport. En tant que vice-présidence du bureau de la COP8 (Afrique), l’ancien ministre des Sports, Matar Bâ, par ailleurs Chef de Cabinet du Président de la République a réaffirmé l’engagement mené par l’Etat du Sénégal depuis ses dix derniers années pour que le sport soit un sport sain, encadré et protégé.
«C’est un engagement extrêmement important. Le Sénégal a, ces dix dernières années su investir dans le domaine des sports. Que ce soit au niveau des compétitions internationales qu’au niveau des instances internationales. Nous avons l’honneur de représenter le Sénégal au niveau de ce COP en tant que vice-président et nous nous sommes investis au côté de Marcos et au côté de Gabriella. Pour que les gouvernants africains puissent s’engager dans ce combat contre le dopage dans le sport », a-t-il déclaré. Selon lui, l’engagement du Sénégal sera en avant dans le combat qui, selon lui nécessite plus de sensibilisation mais aussi beaucoup de finances. « Le Sénégal s’honore. Le chef de l’Etat l’a dit hier (jeudi), parce qu’il a reçu le bureau pour réitérer son engagement et donner les directives nécessaires à son gouvernement. Non seulement d’engager, poursuivre ce combat là mais continuer aussi la participation au niveau du fonds mondial antidopage. Parce que c’est un combat qui nécessite beaucoup de finances. Nous allons porter cette sensibilisation. Nous allons aussi saisir les organisations régionales et sous régionales. Parce que rien ne se fera sans cette sensibilisation», soutient-il avant d’ajouter : «Nous devons être les premiers à combattre ce dopage vu la configuration de nos populations. Au Sénégal près de 65% voire 70% de la population est jeune. Il est difficile de donner du travail pour tout le monde mais c’est une obligation de permettre à la jeunesse de s’épanouir, à travers le sport. Mais cela doit être un sport sain où il n’y a pas de drogue». Devant les membres du bureau, Matar Ba estime que le combat va continuer et que la COP entend lever tous les leviers. « Nous avons eu l’appel de Ryad où il y a eu une grande déclaration, ce travail va se poursuivre. Nous avons bien écouté la directrice adjointe qui a parlé des gouvernements, qui veut que l’on s’engage davantage dans ce combat. En étant en cohérence avec la COP; la convention qui permettra à tous les leviers de pouvoir agir au niveau de ce domaine. Pour que cela soit un sport propre où il y a une bonne intégrité, qu’il n’y a pas de difficultés. C’est le combat de l’Unesco, des différents COP», conclut-il.
Sud Quotidien.sn
Dakar accueille depuis ce jeudi 27 avril, la 5e réunion de la Convention des parties pour la lutte contre le dopage dans le sport (COP ), qui est une branche de l’Unesco. La cérémonie d’ouverture s’est tenue hier, vendredi 28 avril en présence de la sous-directrice Mme Gabriela Ramos ; le vice-président du Bureau COP, Marcos Diaz de la République dominicaine ainsi que d’imminentes personnalités du monde sportif.
Organisé pour la deuxième fois dans la capitale sénégalaise, cette rencontre est une occasion pour le Sénégal d’afficher son engagement dans le domaine de la lutte contre dopage dans le sport. En tant que vice-présidence du bureau de la COP8 (Afrique), l’ancien ministre des Sports, Matar Bâ, par ailleurs Chef de Cabinet du Président de la République a réaffirmé l’engagement mené par l’Etat du Sénégal depuis ses dix derniers années pour que le sport soit un sport sain, encadré et protégé.
«C’est un engagement extrêmement important. Le Sénégal a, ces dix dernières années su investir dans le domaine des sports. Que ce soit au niveau des compétitions internationales qu’au niveau des instances internationales. Nous avons l’honneur de représenter le Sénégal au niveau de ce COP en tant que vice-président et nous nous sommes investis au côté de Marcos et au côté de Gabriella. Pour que les gouvernants africains puissent s’engager dans ce combat contre le dopage dans le sport », a-t-il déclaré. Selon lui, l’engagement du Sénégal sera en avant dans le combat qui, selon lui nécessite plus de sensibilisation mais aussi beaucoup de finances. « Le Sénégal s’honore. Le chef de l’Etat l’a dit hier (jeudi), parce qu’il a reçu le bureau pour réitérer son engagement et donner les directives nécessaires à son gouvernement. Non seulement d’engager, poursuivre ce combat là mais continuer aussi la participation au niveau du fonds mondial antidopage. Parce que c’est un combat qui nécessite beaucoup de finances. Nous allons porter cette sensibilisation. Nous allons aussi saisir les organisations régionales et sous régionales. Parce que rien ne se fera sans cette sensibilisation», soutient-il avant d’ajouter : «Nous devons être les premiers à combattre ce dopage vu la configuration de nos populations. Au Sénégal près de 65% voire 70% de la population est jeune. Il est difficile de donner du travail pour tout le monde mais c’est une obligation de permettre à la jeunesse de s’épanouir, à travers le sport. Mais cela doit être un sport sain où il n’y a pas de drogue». Devant les membres du bureau, Matar Ba estime que le combat va continuer et que la COP entend lever tous les leviers. « Nous avons eu l’appel de Ryad où il y a eu une grande déclaration, ce travail va se poursuivre. Nous avons bien écouté la directrice adjointe qui a parlé des gouvernements, qui veut que l’on s’engage davantage dans ce combat. En étant en cohérence avec la COP; la convention qui permettra à tous les leviers de pouvoir agir au niveau de ce domaine. Pour que cela soit un sport propre où il y a une bonne intégrité, qu’il n’y a pas de difficultés. C’est le combat de l’Unesco, des différents COP», conclut-il.
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