Au Borussia, d’où il a été évincé en fin de saison dernière, il avait d’abord été porté aux nues. Invaincu dans le stade fétiche du Signal Iduna Park durant ses deux saisons dans la Ruhr, il a quitté le club sur une victoire en coupe d’Allemagne et une troisième place en Bundesliga.
Mais malgré les réussites sportives, ses relations avec ses dirigeants de Dortmund s’étaient peu à peu dégradées, au fil d’incidents et de minicrises où il a parfois donné l’impression de faire passer sa relation avec les joueurs avant les intérêts du club.
Les divergences sont apparues au grand jour après l’attentat à la bombe commis contre l’équipe le 11 avril 2017. Cette attaque a fait un blessé, le défenseur Marc Bartra, et profondément secoué les autres joueurs qui ont toutefois dû disputer la rencontre de Ligue des champions seulement 24 heures après. Tuchel s’était vivement emporté contre cette décision, dont il avait fait porter la responsabilité au patron du club Hans-Joachim Watzke. Un Rebelle Cette propension à jouer les rebelles, et à ne pas se couler dans le moule, fait redouter à certains que son séjour dans un grand club ne soit compliqué.
« La question est de savoir s’il aura appris quelque chose de ses deux années à Dortmund », disait l’entraîneur et consultant Armin Veh lorsqu’il était question de Tuchel à Munich : « Si ce n’est pas le cas, il va avoir des problèmes ».
Sans club depuis son départ de Dortmund, l’homme au grand front et oreilles légèrement décollées a été en contact avec le Bayern Munich en début d’année. Mais il semble qu’il ait lui-même mis un terme aux négociations qui traînaient en longueur, peut-être pour se concentrer sur son projet avec Paris. « Il nous a fait savoir qu’il avait déjà signé avec un autre club », avait déclaré le patron du Bayern Karl-Heinz Rummenigge fin mars, sans donner aucune autre indication.
Tuchel, aujourd’hui âgé de 44 ans, a débuté en Bundesliga comme entraîneur de Mayence (2009-2014). Depuis, il a souvent été dépeint comme un clone de Guardiola, l’actuel coach de Manchester City et passé en Allemagne par le Bayern Munich : même obsession tactique, même football de pressing/possession, mêmes mimiques et même gestuelle expressive sur la ligne de touche.
Sport221.com
Mais malgré les réussites sportives, ses relations avec ses dirigeants de Dortmund s’étaient peu à peu dégradées, au fil d’incidents et de minicrises où il a parfois donné l’impression de faire passer sa relation avec les joueurs avant les intérêts du club.
Les divergences sont apparues au grand jour après l’attentat à la bombe commis contre l’équipe le 11 avril 2017. Cette attaque a fait un blessé, le défenseur Marc Bartra, et profondément secoué les autres joueurs qui ont toutefois dû disputer la rencontre de Ligue des champions seulement 24 heures après. Tuchel s’était vivement emporté contre cette décision, dont il avait fait porter la responsabilité au patron du club Hans-Joachim Watzke. Un Rebelle Cette propension à jouer les rebelles, et à ne pas se couler dans le moule, fait redouter à certains que son séjour dans un grand club ne soit compliqué.
« La question est de savoir s’il aura appris quelque chose de ses deux années à Dortmund », disait l’entraîneur et consultant Armin Veh lorsqu’il était question de Tuchel à Munich : « Si ce n’est pas le cas, il va avoir des problèmes ».
Sans club depuis son départ de Dortmund, l’homme au grand front et oreilles légèrement décollées a été en contact avec le Bayern Munich en début d’année. Mais il semble qu’il ait lui-même mis un terme aux négociations qui traînaient en longueur, peut-être pour se concentrer sur son projet avec Paris. « Il nous a fait savoir qu’il avait déjà signé avec un autre club », avait déclaré le patron du Bayern Karl-Heinz Rummenigge fin mars, sans donner aucune autre indication.
Tuchel, aujourd’hui âgé de 44 ans, a débuté en Bundesliga comme entraîneur de Mayence (2009-2014). Depuis, il a souvent été dépeint comme un clone de Guardiola, l’actuel coach de Manchester City et passé en Allemagne par le Bayern Munich : même obsession tactique, même football de pressing/possession, mêmes mimiques et même gestuelle expressive sur la ligne de touche.
Sport221.com