Le ministre des sports, Matar Bâ, a émis l’idée de présenter la lutte sénégalaise aux Jeux olympiques ‘’pour lui donner sa consécration la plus effective’’, se félicitant du choix porté sur le Sénégal pour l’organisation de cet événement sportif international.
« Nous devons penser à présenter la lutte sénégalaise aux Jeux olympiques pour lui donner sa consécration la plus effective », a dit M. Matar Ba samedi, à Dakar, à l’ouverture des concertations nationales sur la discipline.
Selon Matar Ba, « les assises nationales nous offrent l’opportunité de discuter en famille, d’échanger, discuter et approfondir notre commun vouloir vivre en commun grâce à l’action de la lutte ».
Il a par ailleurs indiqué que « les défis à relever au cours de nos échanges tourne autour de l’environnement institutionnel et du cadre juridique de la lutte, la gestion, l’organisation ainsi que la promotion de la lutte ».
« La réinsertion socio-proessionnelle des lutteurs à la fin de leur carrière et les modes d’utilisation de la lutte aussi doivent être au centre des défis à prendre en compte », a-t-il ajouté.
Pour le président du Comité national de gestion de la lutte (CNG), Aliou Sarr « cette concertation permettra d’ouvrir de nouvelles perspectives à l’élan du rayonnement national de la lutte au Sénégal ».
De ce point de vue, il se dit « optimiste à cause de la pertinence des quatre ateliers retenus et de la qualité des participants ».
» Le sport doit unir, éduquer et changer les mauvais comportements mais ne doit pas être le lieu des actes ignobles », a-t-il souligné.
APS
« Nous devons penser à présenter la lutte sénégalaise aux Jeux olympiques pour lui donner sa consécration la plus effective », a dit M. Matar Ba samedi, à Dakar, à l’ouverture des concertations nationales sur la discipline.
Selon Matar Ba, « les assises nationales nous offrent l’opportunité de discuter en famille, d’échanger, discuter et approfondir notre commun vouloir vivre en commun grâce à l’action de la lutte ».
Il a par ailleurs indiqué que « les défis à relever au cours de nos échanges tourne autour de l’environnement institutionnel et du cadre juridique de la lutte, la gestion, l’organisation ainsi que la promotion de la lutte ».
« La réinsertion socio-proessionnelle des lutteurs à la fin de leur carrière et les modes d’utilisation de la lutte aussi doivent être au centre des défis à prendre en compte », a-t-il ajouté.
Pour le président du Comité national de gestion de la lutte (CNG), Aliou Sarr « cette concertation permettra d’ouvrir de nouvelles perspectives à l’élan du rayonnement national de la lutte au Sénégal ».
De ce point de vue, il se dit « optimiste à cause de la pertinence des quatre ateliers retenus et de la qualité des participants ».
» Le sport doit unir, éduquer et changer les mauvais comportements mais ne doit pas être le lieu des actes ignobles », a-t-il souligné.
APS