La lutte avec frappe existait déjà au Sénégal avant le 16 ème siècle. Le Français milliardaire et homme d’affaires Maurice Jacquin est le premier promoteur licencié de la Lutte avec Frappe. Il était le propriétaire de la compagnie COMACICO (Compagnie africaine Cinématographique & Commerciale) qui gérait ses propres salles de cinéma en Afrique occidentale française (Aof). Il était propriétaire de dépôts de ferraille qu’il exportait vers son usine de fonderie en France. Il était aussi producteur et acteur dans le cinéma.
Il est le premier à obtenir la licence de producteur privée de Lutte avec Frappe sous l’autorisation des autorités coloniales françaises. Il est aussi le premier à prendre l’initiative d’organiser ce genre de spectacle dans une enceinte fermée. L’entrée devient payante et les lutteurs étaient rémunérés en échange de leurs prestations.
Les premiers combats eurent lieu en 1927 sur un ring installé au cinéma Alambra (actuel El Malick av. Blaise diagne). Mais devant l’affluence des spectateurs, la salle de cinéma se révéla vite exiguë. Il entreprit alors de clôturer un terrain vague à l’emplacement actuel du Crédit Foncier (avenue Blaise Diagne).
Il était aidé en cela par les lutteurs eux-mêmes. Jacquin est donc à l’origine de ce que l’on appellera plus tard les arènes. Cette discipline existait déjà au Sénégal. Les techniques de lutte étaient combinées aux coups de poings pour l’entrainement des guerriers à la guerre. Les jeunes étaient formés à la discipline dès le bas âge. C’est vers la fin du 19 ème siècle, consacrant la naissance de la lutte avec frappe en tant qu’activité récréative et culturelle. Mais c’est vers les années 1920 qu’elle est devenue une activité de détente organisée pendant les jours fériés dans les différents quartiers de la ville. C’est ainsi que les combats de lutte les plus populaires se tenaient.
C’est de ces joutes que sortiront des champions de grande renommés cités en référence jusqu’à nos jours dans le milieu de la lutte. Cependant ces séances connurent de grands bouleversements avec l’œuvre de trois grands champions du Cayor et du Baol. il s’agit de Médoune Khoulé, Sanor Dieng et Diéry Sadio. Ils n’acceptaient de défis que quand il fallait faire usage de coups de poing comme c’était le cas dans leurs contrées d’origine. C’est donc par eux qu’est introduite la lutte avec frappe à Dakar...
Il est le premier à obtenir la licence de producteur privée de Lutte avec Frappe sous l’autorisation des autorités coloniales françaises. Il est aussi le premier à prendre l’initiative d’organiser ce genre de spectacle dans une enceinte fermée. L’entrée devient payante et les lutteurs étaient rémunérés en échange de leurs prestations.
Les premiers combats eurent lieu en 1927 sur un ring installé au cinéma Alambra (actuel El Malick av. Blaise diagne). Mais devant l’affluence des spectateurs, la salle de cinéma se révéla vite exiguë. Il entreprit alors de clôturer un terrain vague à l’emplacement actuel du Crédit Foncier (avenue Blaise Diagne).
Il était aidé en cela par les lutteurs eux-mêmes. Jacquin est donc à l’origine de ce que l’on appellera plus tard les arènes. Cette discipline existait déjà au Sénégal. Les techniques de lutte étaient combinées aux coups de poings pour l’entrainement des guerriers à la guerre. Les jeunes étaient formés à la discipline dès le bas âge. C’est vers la fin du 19 ème siècle, consacrant la naissance de la lutte avec frappe en tant qu’activité récréative et culturelle. Mais c’est vers les années 1920 qu’elle est devenue une activité de détente organisée pendant les jours fériés dans les différents quartiers de la ville. C’est ainsi que les combats de lutte les plus populaires se tenaient.
C’est de ces joutes que sortiront des champions de grande renommés cités en référence jusqu’à nos jours dans le milieu de la lutte. Cependant ces séances connurent de grands bouleversements avec l’œuvre de trois grands champions du Cayor et du Baol. il s’agit de Médoune Khoulé, Sanor Dieng et Diéry Sadio. Ils n’acceptaient de défis que quand il fallait faire usage de coups de poing comme c’était le cas dans leurs contrées d’origine. C’est donc par eux qu’est introduite la lutte avec frappe à Dakar...