Jeux de la Francophonie : Mbagnick Ndiaye félicite les médaillés


Rédigé le Mardi 22 Aout 2017 à 20:49 | Lu 95 fois | 0 commentaire(s)



Le ministre de la Culture et de la Communication a reçu hier les médaillés de la 8eme édition des jeux de la Francophonie tenue à Abidjan du 21 au 30 juillet dernier. Toutefois, Mbagnick Ndiaye n’a pris aucun engagement pour une éventuelle récompense du chef de l’Etat pour les médaillés.
 
‘’Je me réjouis de recevoir aujourd’hui (Ndlr : hier), après la fin des 8e jeux de la Francophonie, les artistes qui ont obtenu des médailles, mais aussi l’ensemble des artistes créateurs qui ont représenté le Sénégal à ces joutes de la jeunesse francophone.’’ C’est par ces mots que le ministre de la Culture et de la Communication a accueilli hier les artistes médaillés aux 8èmes jeu de la Francophonie tenus à Abidjan du 21 au 30 juillet dernier. En effet, c’est la première fois que le Sénégal a décroché des médailles aux jeux de la Francophonie dans les disciplines culturelles et de création. Il s’agit des médailles d’argent obtenues par Moona en chanson et Mbaye Babacar en peinture et celle de bronze de Mohamed Mbougar Sarr en littérature (nouvelle).  De ce fait, le ministre a tenu à adresser, au nom des plus hautes autorités et à son nom, ses vives félicitations à l’endroit des médaillés pour leur participation ‘’remarquable’’, y compris ceux qui n’ont pas eu de médailles.
 
‘’Je vous avais demandé de ramener des médailles, vous l’avez fait. Les efforts que nous avons déployés en termes de moyens financiers, humains et logistiques n’ont donc pas été vains’’, s’est-il réjoui.
Par ailleurs, le ministre souhaite à l’ avenir faire tout ce qu’il faut pour que les artistes rapportent des médailles d’or lors des prochains jeux de la Francophonie. Pour ce faire, dit-il, il annonce qu’ils vont étudier les voies et moyens pour détecter des jeunes promoteurs et les encadrer sur le long terme. ‘’Il nous appartient de relever le niveau de l’ensemble des disciplines culturelles et de créations. Les distinctions obtenues par nos artistes ne doivent pas être des premières ou des choses trop rares. Il s’agit donc de faire en sorte qu’elles soient bien une constante’’, a fait savoir Mbagnick Ndiaye.
 
Source Enquête
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