Sa ligne de conduite
«Les joueurs de Ligue 1 peuvent dire que j'ai un point de vue tranché mais jamais que je suis injuste. Comme je viens de ce jeu, je ne peux pas trahir les footballeurs en méprisant les difficultés de leur métier. Je suis convaincu que les joueurs disent à mon sujet ''Putain, ce mec aime le foot !''»
Non à la méchanceté «Ce sentiment ne doit pas entrer en compte dans le métier de consultant. Je suis à l'abri du mot facile lancé juste pour faire mal car je sais que le métier de footballeur est difficile. En revanche, j'ai le droit d'affirmer que tel match est chiant. Mais je dois argumenter...»
Le plateau du CFC «Ce n'est pas un ring de catch où chacun doit battre l'autre. En revanche, il y a de fortes personnalités qui veulent exister et il faut savoir avancer ses arguments. J'assume mon plaisir d'avoir le dernier mot, c'est mon tempérament. Je vais tout faire pour convaincre ceux qui m'écoutent.»
Son trop plein de certitudes «Je me suis cassé la gueule avec mes certitudes. Mais ces mêmes certitudes m'ont aidé à me relever et à surmonter l'obstacle. C'est vrai, j'ai du mal à arrondir les angles et à reconnaître que j'ai tort. Je suis conscient que certains prennent ça pour de l'arrogance...»
Son désir d'entraîner «J'ai envie de me mettre en danger. Je pourrais tranquillement rester à la télé pour commenter du beau football mais je ressens une frustration. Je passe mes diplômes. J'aimerais voir si mes convictions sur le jeu marchent. Entraîner dans deux ou trois ans, c'est l'objectif !»
FF
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