Animée par des spécialistes instructeurs de la CAF et de la FIFA, cette session a permis aux participants de s’imprégner davantage des 94 modifications apportées dans les lois du jeu.
Il s’agissait, selon Amadou François Guèye, président de la Commission centrale des arbitres (CCA), "d’établir avec précision la condition physique de l’arbitre qui a beaucoup évolué". Selon lui, "il devient de plus en plus difficile de trouver dans un match des temps de récupération".
L’instructeur de la CAF et de la FIFA, Mademba Mbacké, qui s’occupe de la formation des arbitres de haut niveau, appelés à officier dans les compétitions majeures telles que les jeux olympiques et les coupes du monde, a apporté son expertise pendant cette session de formation.
De même, Badara Diatta et Fatou Gaye, instructeurs de la CAF et de la FIFA, ont fait tour à tour, une restitution de connaissances acquises récemment au Portugal.
Les arbitres ont pris en compte les changements intervenus dans les lois et certaines modifications qui ne concernent pas encore les "arbitres supplémentaires (arbitres de ligne) situés derrière les buts ou à proximité".
Une mention spéciale a été décernée à la CRA de Diourbel et à son Président, Khalil Aoudy, qui pour la seconde fois a organisé un séminaire nationale des arbitres.
Lors de l’ouverture de cette session présidée par Ely Birahim Fall, vice-président de la Ligue sénégalaise de football professionnel (LSFP), le rôle joué par Badara Mamaya Sène dans la formation et le développement de l’arbitrage a été bien apprécié.
"Nos [jeunes arbitres] sont en nette progression et réussissent tous les tests physiques imposés par la FIFA", a souligné le président de la CCA.
Amadou François Guèye a ajouté que les arbitres sénégalais participent aux Jeux olympiques et aux Coupes d’Afrique, signalant que trois d’entre eux sont en préparation pour la prochaine Coupe du monde 2018 en Russie.
Il s’agissait, selon Amadou François Guèye, président de la Commission centrale des arbitres (CCA), "d’établir avec précision la condition physique de l’arbitre qui a beaucoup évolué". Selon lui, "il devient de plus en plus difficile de trouver dans un match des temps de récupération".
L’instructeur de la CAF et de la FIFA, Mademba Mbacké, qui s’occupe de la formation des arbitres de haut niveau, appelés à officier dans les compétitions majeures telles que les jeux olympiques et les coupes du monde, a apporté son expertise pendant cette session de formation.
De même, Badara Diatta et Fatou Gaye, instructeurs de la CAF et de la FIFA, ont fait tour à tour, une restitution de connaissances acquises récemment au Portugal.
Les arbitres ont pris en compte les changements intervenus dans les lois et certaines modifications qui ne concernent pas encore les "arbitres supplémentaires (arbitres de ligne) situés derrière les buts ou à proximité".
Une mention spéciale a été décernée à la CRA de Diourbel et à son Président, Khalil Aoudy, qui pour la seconde fois a organisé un séminaire nationale des arbitres.
Lors de l’ouverture de cette session présidée par Ely Birahim Fall, vice-président de la Ligue sénégalaise de football professionnel (LSFP), le rôle joué par Badara Mamaya Sène dans la formation et le développement de l’arbitrage a été bien apprécié.
"Nos [jeunes arbitres] sont en nette progression et réussissent tous les tests physiques imposés par la FIFA", a souligné le président de la CCA.
Amadou François Guèye a ajouté que les arbitres sénégalais participent aux Jeux olympiques et aux Coupes d’Afrique, signalant que trois d’entre eux sont en préparation pour la prochaine Coupe du monde 2018 en Russie.