En l’absence de quatre titulaires, l’Olympique de Marseille a livré un match intelligent et courageux et concédé une courte défaite 1-0 ce jeudi soir à Leipzig en quart de finale de la Ligue Europa, laissant entières ses chances de qualification au retour.
Tenu derrière par un Luiz Gustavo remarquable en position d’arrière central, l’OM s’est même procuré les meilleures occasions du match, mais a cédé à un coup de boutoir en première période de l’inévitable Timo Werner, le jeune buteur de l’équipe d’Allemagne.
Si les absents Mandanda, Thauvin, et les centraux Rami et Rolando sont de retour la semaine prochaine au Vélodrome, les supporters de l’OM peuvent espérer revivre l’une de ces grandes soirées européennes qui sont l’ADN du club olympien. Sans sa charnière habituelle, Rudi Garcia avait dû trouver des solutions, pour affronter une équipe de Leipzig réputée joueuse et rapide.
« On perd des joueurs, mais ce qu’on ne perd pas, c’est la volonté de combattre, l’abnégation, la cohésion, cette équipe a une âme, il va falloir s’en servir », avait lâché Garcia avant le match. Et, en effet, cette formation remaniée allait longtemps tenir la dragée haute aux Allemands. Souvent battu dans les duels en milieu de terrain, où l’absence de Gustavo se faisait sentir, Marseille pourtant tenait bien le coup derrière et se procurait même les meilleures occasions, par Mitroglu (4e) ou Ocampos (44e) notamment.
Sport221.com
Tenu derrière par un Luiz Gustavo remarquable en position d’arrière central, l’OM s’est même procuré les meilleures occasions du match, mais a cédé à un coup de boutoir en première période de l’inévitable Timo Werner, le jeune buteur de l’équipe d’Allemagne.
Si les absents Mandanda, Thauvin, et les centraux Rami et Rolando sont de retour la semaine prochaine au Vélodrome, les supporters de l’OM peuvent espérer revivre l’une de ces grandes soirées européennes qui sont l’ADN du club olympien. Sans sa charnière habituelle, Rudi Garcia avait dû trouver des solutions, pour affronter une équipe de Leipzig réputée joueuse et rapide.
« On perd des joueurs, mais ce qu’on ne perd pas, c’est la volonté de combattre, l’abnégation, la cohésion, cette équipe a une âme, il va falloir s’en servir », avait lâché Garcia avant le match. Et, en effet, cette formation remaniée allait longtemps tenir la dragée haute aux Allemands. Souvent battu dans les duels en milieu de terrain, où l’absence de Gustavo se faisait sentir, Marseille pourtant tenait bien le coup derrière et se procurait même les meilleures occasions, par Mitroglu (4e) ou Ocampos (44e) notamment.
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