Bien que dominé durant une heure, le Real Madrid s’est imposé sur la pelouse du FC Barcelone (1-2), ce samedi, pour le compte de la 11e journée de Liga. Un Clasico marqué par la prestation irréelle de Jude Bellingham, double buteur.
Pas de Lewandowski ? Pas grave, Gündogan était là. Sur un de ses premiers ballons, le milieu allemand profitait de deux interventions ratées de Tchouaméni et Alaba pour ouvrir la marque d'un plat du pied parfait (1-0, 6e). A la rue, la défense madrilène frisait la correctionnelle quelques minutes plus tard sur un tir de Fermin qui percutait le poteau. Une domination outrageuse du club catalan, porté par un public très bruyant et satisfait du spectacle produit.
Au fil des minutes, les Merengue reprenaient timidement leurs esprits et passaient proches de réduire l’écart au score sur une lourde frappe de Rüdiger à 30 mètres. Un léger sursaut d’orgueil de la part des visiteurs, dominés techniquement, à l’image de ce petit pont génial de João Félix sur le défenseur central allemand, mais pas toujours concentrés, en attestent les multiples plaintes de Vinicius Jr pour des contacts rugueux avec ses adversaires.
Au retour des vestiaires, le Real se montrait un peu plus agressif. Mais c’était toujours le Barça qui se procurait les meilleures opportunités avec un nouveau poteau pour Iñigo suivi d’un bel arrêt de Kepa devant Araujo. Il fallait attendre la 57e minute pour assister au premier tir cadré de la Maison Blanche par Kroos. Le premier et pas le dernier. Après avoir repoussé un coup de canon de Tchouaméni, Ter Stegen devait s’incliner sur une frappe monumentale de Bellingham dans la lucarne (1-1, 68e).
Stupéfait par ce bijou de l’Anglais, le Barça reculait et subissait dès lors. Symbole du renouveau madrilène, Camavinga, qui aurait pu, dû, obtenir un penalty pour un plaquage d’Araujo. Pas de quoi doucher les ambitions madrilènes. Après un nouveau temps fort barcelonais, Bellingham, encore lui, surgissait de nulle part pour reprendre un centre de Carvajal dévié par Modric (1-2, 90e+2). Un but de renard qui éteignait définitivement la lumière au Stade Olympique de Barcelone. Un premier Clasico d’anthologie pour le Britannique !
Pas de Lewandowski ? Pas grave, Gündogan était là. Sur un de ses premiers ballons, le milieu allemand profitait de deux interventions ratées de Tchouaméni et Alaba pour ouvrir la marque d'un plat du pied parfait (1-0, 6e). A la rue, la défense madrilène frisait la correctionnelle quelques minutes plus tard sur un tir de Fermin qui percutait le poteau. Une domination outrageuse du club catalan, porté par un public très bruyant et satisfait du spectacle produit.
Au fil des minutes, les Merengue reprenaient timidement leurs esprits et passaient proches de réduire l’écart au score sur une lourde frappe de Rüdiger à 30 mètres. Un léger sursaut d’orgueil de la part des visiteurs, dominés techniquement, à l’image de ce petit pont génial de João Félix sur le défenseur central allemand, mais pas toujours concentrés, en attestent les multiples plaintes de Vinicius Jr pour des contacts rugueux avec ses adversaires.
Au retour des vestiaires, le Real se montrait un peu plus agressif. Mais c’était toujours le Barça qui se procurait les meilleures opportunités avec un nouveau poteau pour Iñigo suivi d’un bel arrêt de Kepa devant Araujo. Il fallait attendre la 57e minute pour assister au premier tir cadré de la Maison Blanche par Kroos. Le premier et pas le dernier. Après avoir repoussé un coup de canon de Tchouaméni, Ter Stegen devait s’incliner sur une frappe monumentale de Bellingham dans la lucarne (1-1, 68e).
Stupéfait par ce bijou de l’Anglais, le Barça reculait et subissait dès lors. Symbole du renouveau madrilène, Camavinga, qui aurait pu, dû, obtenir un penalty pour un plaquage d’Araujo. Pas de quoi doucher les ambitions madrilènes. Après un nouveau temps fort barcelonais, Bellingham, encore lui, surgissait de nulle part pour reprendre un centre de Carvajal dévié par Modric (1-2, 90e+2). Un but de renard qui éteignait définitivement la lumière au Stade Olympique de Barcelone. Un premier Clasico d’anthologie pour le Britannique !