A moins de deux mois de la Coupe d’Afrique des Nations 2019, les préparatifs se poursuivent en Egypte, pays organisateur. Le Ministre de la Jeunesse et des Sports, Achraf Sobhi a révélé, ce jeudi, que tout sera à point avant la fin du mois de mai.
Après le retrait de la CAN 2019 au Cameroun, l’Egypte a été désignée au pied levé pour abriter la plus grande compétition africaine par la Confédération africaine de Football. Cette décision a été prise le 08 janvier dernier à Dakar, à six mois de cet évènement sportif majeur. Les autorités égyptiennes, conscientes des défis à relever, n’ont pas perdu du temps. Elles avaient lancé les travaux cinq jours après l’annonce de l’attribution de l’organisation de la compétition.
Le pays est en chantier. Les différents stades désignés pour abriter les rencontres sont en reconstruction et plusieurs artères de la capitale égyptiennes sont en travaux. Mais, à deux mois de la compétition, les autorités du pays se veulent confiantes. Selon le ministre de la Jeunesse et des Sports, Achraf Sobhi, même s’il faut généralement deux ans pour une bonne préparation, aujourd’hui, l’Egypte est fin prête pour accueillir la CAN. Il annonce, d’ailleurs, la fin des travaux à la fin du mois de mai et les premières réalisations seront acheminées avant le 15 mai.
Six stades ont été retenus pour cette Can prévue du 21 Juin au 19 Juillet 2019. Ils sont répartis entre les villes du Caire (stade international du Caire, stade du 30 juin et stade Assalam), d’Alexandrie, d’Ismailia et de Suez. Les plus grands travaux concernent le stade international du Caire, qui subit une rénovation totale. Il va accueillir le match d’ouverture prévu le 21 juin ainsi que la finale, le 19 juillet.
Pour le Ministre de la Jeunesse et des Sports, si son pays a pris le risque d’organiser la CAN avec un délai aussi court, c’est pour rendre service à l’Afrique et montrer au reste du monde que le continent peut y arriver. Ces assurances du ministre égyptien de la Jeunesse et des Sports vont sans doute permettre aux autorités de la CAF de pousser un grand ouf de soulagement après leur décision de retirer de la CAN 2019 au Cameroun.
Avec cette 32e édition sur son sol, l’Egypte va recevoir pour la 5ème fois le tournoi prestigieux après 1959, 1974, 1986 et 2006. Et, à l’exception de 1974, les « Pharaons » ont toujours fait la loi à la maison. Vont-ils continuer d’être maîtres chez eux pour cette édition prévue dans deux mois ? En attendant d’avoir la réponse, la sécurité est le principal match à gagner pour les autorités égyptiennes. La question est assez prise très au sérieux dans un pays qui sort à peine d’une convalescence.
source: emedia
Après le retrait de la CAN 2019 au Cameroun, l’Egypte a été désignée au pied levé pour abriter la plus grande compétition africaine par la Confédération africaine de Football. Cette décision a été prise le 08 janvier dernier à Dakar, à six mois de cet évènement sportif majeur. Les autorités égyptiennes, conscientes des défis à relever, n’ont pas perdu du temps. Elles avaient lancé les travaux cinq jours après l’annonce de l’attribution de l’organisation de la compétition.
Le pays est en chantier. Les différents stades désignés pour abriter les rencontres sont en reconstruction et plusieurs artères de la capitale égyptiennes sont en travaux. Mais, à deux mois de la compétition, les autorités du pays se veulent confiantes. Selon le ministre de la Jeunesse et des Sports, Achraf Sobhi, même s’il faut généralement deux ans pour une bonne préparation, aujourd’hui, l’Egypte est fin prête pour accueillir la CAN. Il annonce, d’ailleurs, la fin des travaux à la fin du mois de mai et les premières réalisations seront acheminées avant le 15 mai.
Six stades ont été retenus pour cette Can prévue du 21 Juin au 19 Juillet 2019. Ils sont répartis entre les villes du Caire (stade international du Caire, stade du 30 juin et stade Assalam), d’Alexandrie, d’Ismailia et de Suez. Les plus grands travaux concernent le stade international du Caire, qui subit une rénovation totale. Il va accueillir le match d’ouverture prévu le 21 juin ainsi que la finale, le 19 juillet.
Pour le Ministre de la Jeunesse et des Sports, si son pays a pris le risque d’organiser la CAN avec un délai aussi court, c’est pour rendre service à l’Afrique et montrer au reste du monde que le continent peut y arriver. Ces assurances du ministre égyptien de la Jeunesse et des Sports vont sans doute permettre aux autorités de la CAF de pousser un grand ouf de soulagement après leur décision de retirer de la CAN 2019 au Cameroun.
Avec cette 32e édition sur son sol, l’Egypte va recevoir pour la 5ème fois le tournoi prestigieux après 1959, 1974, 1986 et 2006. Et, à l’exception de 1974, les « Pharaons » ont toujours fait la loi à la maison. Vont-ils continuer d’être maîtres chez eux pour cette édition prévue dans deux mois ? En attendant d’avoir la réponse, la sécurité est le principal match à gagner pour les autorités égyptiennes. La question est assez prise très au sérieux dans un pays qui sort à peine d’une convalescence.
source: emedia